Laval arrive loin devant Montréal (75,5 %) qui termine deuxième dans la mise en rang des 22 régions touristiques de la province, Québec prenant le troisième échelon avec un score de 67,8 %.
Pour l’ensemble du Québec, les quelque 70 000 chambres d’hôtel recensées ont été occupées en moyenne à 60,6 % en 2017.
Bémol
Faut-il toutefois préciser que ces statistiques sont établies en fonction des unités disponibles recensées par Tourisme Québec et qu’en ce sens, le bassin des 1501 chambres à Laval est près de 8 fois inférieur à l’inventaire des 11 244 chambres dans la Vieille Capitale et 13 fois plus petit que l’offre hôtelière de 19 235 unités d’hébergement sur l’île de Montréal.
Cela dit, les hôteliers lavallois ont amélioré leur performance de l’année précédente par plus de 3 points de pourcentage, alors qu’ils affichaient un taux d’occupation de 77,2 % en 2016.
En chiffres absolus, ce sont 293 000 nuitées qui ont été enregistrées à travers le parc hôtelier lavallois en 2017, ce qui représente une hausse significative de 7 % en comparaison à 2016.
Autres sommets
Les touristes et les retombées touristiques ont également atteint des sommets historiques, souligne Tourisme Laval.
L’organisme chiffre à 1,8 million le nombre de jours-touristes en 2017, une augmentation de 9,5 % en comparaison à l’année précédente. Cette donnée est une estimation du nombre de nuits passées à Laval, que ce soit en établissement hôtelier, dans un gîte ou chez des parents et amis.
À titre d’exemple, une famille de 3 personnes qui séjourne 4 jours et 3 nuits à Laval compte pour 9 jours-touristes dans ce décompte.
À partir de ces statistiques, on établit à près de 115 M$ les dépenses touristiques injectées dans la région au cours de la dernière année.
Au chapitre du tourisme d’affaires, on constate également une croissance du nombre de congrès et événements ayant généré plus de 40 nuitées. En 2017, on évalue à plus de 9 M$ les dépenses directes des participants à ces 201 congrès et événements répertoriés.
Enfin, les estimations dépassent largement les 200 M$ si l’on prend en compte les retombées économiques générées par les excursionnistes qui se sont arrêtés à Laval sans y passer la nuit.
Avenir prometteur
«Notre destination poursuit sa croissance, a déclaré par voie de communiqué le 21 mars Geneviève Roy, présidente-directrice générale de Tourisme Laval. Nul doute que ses nombreuses caractéristiques distinctives, dont son offre incomparable d’expériences uniques, ont eu une influence majeure sur cette performance historique.»
À cet égard, elle se réjouit du développement que connaît l’offre de produits touristiques en sol lavallois.
«Au cours des trois dernières années, sept nouveaux attraits ont ouvert leurs portes et c’est sans compter l’ouverture de la Place Bell en septembre dernier. La concrétisation de grands projets comme le nouveau centre d’exploration du Parc de la Rivière-des-Mille-Îles, le complexe aquatique ou ceux associés au développement du centre-ville auront un effet déterminant sur notre performance et nous permettront de propulser Laval vers de nouveaux sommets», termine Mme Roy.
Laval arrive loin devant Montréal (75,5 %) qui termine deuxième dans la mise en rang des 22 régions touristiques de la province, Québec prenant le troisième échelon avec un score de 67,8 %.
Pour l’ensemble du Québec, les quelque 70 000 chambres d’hôtel recensées ont été occupées en moyenne à 60,6 % en 2017.
Bémol
Faut-il toutefois préciser que ces statistiques sont établies en fonction des unités disponibles recensées par Tourisme Québec et qu’en ce sens, le bassin des 1501 chambres à Laval est près de 8 fois inférieur à l’inventaire des 11 244 chambres dans la Vieille Capitale et 13 fois plus petit que l’offre hôtelière de 19 235 unités d’hébergement sur l’île de Montréal.
Cela dit, les hôteliers lavallois ont amélioré leur performance de l’année précédente par plus de 3 points de pourcentage, alors qu’ils affichaient un taux d’occupation de 77,2 % en 2016.
En chiffres absolus, ce sont 293 000 nuitées qui ont été enregistrées à travers le parc hôtelier lavallois en 2017, ce qui représente une hausse significative de 7 % en comparaison à 2016.
Autres sommets
Les touristes et les retombées touristiques ont également atteint des sommets historiques, souligne Tourisme Laval.
L’organisme chiffre à 1,8 million le nombre de jours-touristes en 2017, une augmentation de 9,5 % en comparaison à l’année précédente. Cette donnée est une estimation du nombre de nuits passées à Laval, que ce soit en établissement hôtelier, dans un gîte ou chez des parents et amis.
À titre d’exemple, une famille de 3 personnes qui séjourne 4 jours et 3 nuits à Laval compte pour 9 jours-touristes dans ce décompte.
À partir de ces statistiques, on établit à près de 115 M$ les dépenses touristiques injectées dans la région au cours de la dernière année.
Au chapitre du tourisme d’affaires, on constate également une croissance du nombre de congrès et événements ayant généré plus de 40 nuitées. En 2017, on évalue à plus de 9 M$ les dépenses directes des participants à ces 201 congrès et événements répertoriés.
Enfin, les estimations dépassent largement les 200 M$ si l’on prend en compte les retombées économiques générées par les excursionnistes qui se sont arrêtés à Laval sans y passer la nuit.
Avenir prometteur
«Notre destination poursuit sa croissance, a déclaré par voie de communiqué le 21 mars Geneviève Roy, présidente-directrice générale de Tourisme Laval. Nul doute que ses nombreuses caractéristiques distinctives, dont son offre incomparable d’expériences uniques, ont eu une influence majeure sur cette performance historique.»
À cet égard, elle se réjouit du développement que connaît l’offre de produits touristiques en sol lavallois.
«Au cours des trois dernières années, sept nouveaux attraits ont ouvert leurs portes et c’est sans compter l’ouverture de la Place Bell en septembre dernier. La concrétisation de grands projets comme le nouveau centre d’exploration du Parc de la Rivière-des-Mille-Îles, le complexe aquatique ou ceux associés au développement du centre-ville auront un effet déterminant sur notre performance et nous permettront de propulser Laval vers de nouveaux sommets», termine Mme Roy.