«Pour nous, au Quartier vert, le Jour de la Terre c’est tous les jours», a déclaré Angela Aurucci, administratrice au sein de cet organisme qui promeut l’agriculture urbaine et le développement durable.
«C’est pourquoi, depuis une dizaine d’années, nous rêvons et militons pour la création d’un premier écoquartier à Laval. Cela permettrait aux citoyens du quartier de participer à des actions écoresponsables au quotidien», a enchaîné Mme Aurucci qui lançait une pétition pour faire pression sur le pouvoir municipal.
Déplorant le fait ne pas être soutenu financièrement par la Ville, l’organisme s’était invité dans la dernière campagne municipale en faisant du financement du secteur communautaire un enjeu électoral.
Si l’idée d’un éco-quartier lavallois a germé lors d’un forum social régional en 2008, elle s’est depuis fortement inspirée du modèle qui essaime sur l’île de Montréal depuis l’implantation d’un premier éco-quartier il y a 25 ans.
Dans sa quête de financement public, le Quartier vert du Marigot est soutenu par le mouvement Pas de tours dans ma cour, un groupe citoyen connu pour avoir obtenu gain de cause en 2014 dans le controversé projet immobilier sur le site de la marina Commodore, de même que par les trois animatrices et bloggeuses du site lavallois En harmonie avec la Terre.
Jour de fête
Ces trois organisations communautaires étaient partie prenante du Grand Ramassage printanier qui a mobilisé une soixantaine de bénévoles dans le boisé du Souvenir.
«Ce Jour de la Terre est pour nous une fête», a pour sa part fait valoir le porte-parole des Amis de ce boisé, Daniel Desroches, rappelant que cet espace vert était désormais protégé.
«La protection offerte au bois du Souvenir par le nouveau schéma d’aménagement de la Ville de Laval garantit à nos enfants que ce milieu naturel ne sera ni développé ni détruit», a-t-il poursuivi.
Rappelons que le mouvement citoyen dont il est le porte-étendard a milité pendant plusieurs années pour sensibiliser les élus municipaux à la cause environnementale et les convaincre de renoncer au parachèvement du boulevard du Souvenir, un projet routier qui aurait détruit une dizaine d’hectares de ce corridor écologique au cœur de Laval-des-Rapides, précise-t-on.
«Pour nous, au Quartier vert, le Jour de la Terre c’est tous les jours», a déclaré Angela Aurucci, administratrice au sein de cet organisme qui promeut l’agriculture urbaine et le développement durable.
«C’est pourquoi, depuis une dizaine d’années, nous rêvons et militons pour la création d’un premier écoquartier à Laval. Cela permettrait aux citoyens du quartier de participer à des actions écoresponsables au quotidien», a enchaîné Mme Aurucci qui lançait une pétition pour faire pression sur le pouvoir municipal.
Déplorant le fait ne pas être soutenu financièrement par la Ville, l’organisme s’était invité dans la dernière campagne municipale en faisant du financement du secteur communautaire un enjeu électoral.
Si l’idée d’un éco-quartier lavallois a germé lors d’un forum social régional en 2008, elle s’est depuis fortement inspirée du modèle qui essaime sur l’île de Montréal depuis l’implantation d’un premier éco-quartier il y a 25 ans.
Dans sa quête de financement public, le Quartier vert du Marigot est soutenu par le mouvement Pas de tours dans ma cour, un groupe citoyen connu pour avoir obtenu gain de cause en 2014 dans le controversé projet immobilier sur le site de la marina Commodore, de même que par les trois animatrices et bloggeuses du site lavallois En harmonie avec la Terre.
Jour de fête
Ces trois organisations communautaires étaient partie prenante du Grand Ramassage printanier qui a mobilisé une soixantaine de bénévoles dans le boisé du Souvenir.
«Ce Jour de la Terre est pour nous une fête», a pour sa part fait valoir le porte-parole des Amis de ce boisé, Daniel Desroches, rappelant que cet espace vert était désormais protégé.
«La protection offerte au bois du Souvenir par le nouveau schéma d’aménagement de la Ville de Laval garantit à nos enfants que ce milieu naturel ne sera ni développé ni détruit», a-t-il poursuivi.
Rappelons que le mouvement citoyen dont il est le porte-étendard a milité pendant plusieurs années pour sensibiliser les élus municipaux à la cause environnementale et les convaincre de renoncer au parachèvement du boulevard du Souvenir, un projet routier qui aurait détruit une dizaine d’hectares de ce corridor écologique au cœur de Laval-des-Rapides, précise-t-on.