Depuis janvier 1992, Karaté Sportif transmet un enseignement basé sur la motivation, l’encouragement et la valorisation. Le Courrier Laval a rencontré son président, Marcelin Cantin, qui nous parle de ce success-story lavallois.
L’organisme compte 33 écoles d’arts martiaux au Québec, dont 6 sur le territoire lavallois (Sainte-Rose, Sainte-Dorothée, Auteuil, Duvernay et Chomedey). Celles-ci regroupent plus de 9250 membres.
Trois nouvelles écoles ont vu le jour à Québec, Saint-Augustin et l’Assomption en 2016. D’ici 5 ans, Cantin aimerait compter sur 50 établissements, dont quelques-uns en Alberta, Ontario et Floride.
Confiance
«La pratique du karaté favorise l’augmentation de la confiance et l’estime de soi, précise le président. Prôner le respect de soi et des autres tout en formant de réels athlètes, tel est le défi que s’est lancé Karaté Sportif en 1992. Nous valorisons les saines habitudes de vie et nous combattons le décrochage scolaire.»
Présents dans les écoles
Karaté Sportif offre également des cours parascolaires dans 86 écoles, dont 25 sur le territoire. Ceux qui enseignent doivent passer le cours pratique et théorique d’instructeur du groupe Karaté Sportif. S’ils échouent, il est impossible d’enseigner.
Une grande fierté
Cantin trouve extrêmement gratifiant de voir un jeune de 19 ans ouvrir son école à Boucherville ou qu’une jeune femme de 22 ans fasse de même à Candiac.
«On a formé de jeunes entrepreneurs, explique-t-il. C’est valorisant de voir que les Lavallois peuvent gagner leur vie grâce aux arts martiaux. Ils vont pouvoir s’impliquer dans leur communauté, faire la différence dans la vie d’un enfant ou d’une famille.
«Notre but est d’inspirer les jeunes pour qu’ils obtiennent leur ceinture noire et qu’à leur tour ils ouvrent des écoles. Nous avons construit quelque chose pour que cela reste dans le futur», enchaîne Cantin.
Formation
La nouvelle génération des franchisés a obtenu sa ceinture noire à un jeune âge. Pour se faire, ils doivent s’imprégner de la structure mise en place.
Ils ont participé à un programme de leader (cinq niveaux), suivi tour à tour le cours d’assistant-instructeur, d’instructeur et de directeur. Lorsqu’ils ont terminé les différentes étapes, ils peuvent acheter un territoire.
«Pour enseigner, il faut avoir baigné dedans.»
Le secret: garder les élèves
Le propriétaire ne cache pas l’importance d’avoir trouvé une niche. «Nous l’exploitons à fond, avoue-t-il. Le plus important, ce n’est pas d’avoir les meilleurs athlètes, mais de les garder. Quand tu les gardes, tu peux les inspirer, modeler et changer. Il fallait développer un programme familial et de rétention.»
Karaté Sportif prend en charge les élèves dès leur plus jeune âge en offrant de nombreux programmes tels Superhéros (22-44 mois), Ninja (3-5 ans), Apprenti (5-12 ans) et ados-adultes.
En 2013, Marcelin et son équipe ont créé la Fondation «Je suis le héros de ma vie», afin d’aider le plus grand nombre d’enfants à devenir une meilleure personne.
Depuis janvier 1992, Karaté Sportif transmet un enseignement basé sur la motivation, l’encouragement et la valorisation. Le Courrier Laval a rencontré son président, Marcelin Cantin, qui nous parle de ce success-story lavallois.
L’organisme compte 33 écoles d’arts martiaux au Québec, dont 6 sur le territoire lavallois (Sainte-Rose, Sainte-Dorothée, Auteuil, Duvernay et Chomedey). Celles-ci regroupent plus de 9250 membres.
Trois nouvelles écoles ont vu le jour à Québec, Saint-Augustin et l’Assomption en 2016. D’ici 5 ans, Cantin aimerait compter sur 50 établissements, dont quelques-uns en Alberta, Ontario et Floride.
Confiance
«La pratique du karaté favorise l’augmentation de la confiance et l’estime de soi, précise le président. Prôner le respect de soi et des autres tout en formant de réels athlètes, tel est le défi que s’est lancé Karaté Sportif en 1992. Nous valorisons les saines habitudes de vie et nous combattons le décrochage scolaire.»
Présents dans les écoles
Karaté Sportif offre également des cours parascolaires dans 86 écoles, dont 25 sur le territoire. Ceux qui enseignent doivent passer le cours pratique et théorique d’instructeur du groupe Karaté Sportif. S’ils échouent, il est impossible d’enseigner.
Une grande fierté
Cantin trouve extrêmement gratifiant de voir un jeune de 19 ans ouvrir son école à Boucherville ou qu’une jeune femme de 22 ans fasse de même à Candiac.
«On a formé de jeunes entrepreneurs, explique-t-il. C’est valorisant de voir que les Lavallois peuvent gagner leur vie grâce aux arts martiaux. Ils vont pouvoir s’impliquer dans leur communauté, faire la différence dans la vie d’un enfant ou d’une famille.
«Notre but est d’inspirer les jeunes pour qu’ils obtiennent leur ceinture noire et qu’à leur tour ils ouvrent des écoles. Nous avons construit quelque chose pour que cela reste dans le futur», enchaîne Cantin.
Formation
La nouvelle génération des franchisés a obtenu sa ceinture noire à un jeune âge. Pour se faire, ils doivent s’imprégner de la structure mise en place.
Ils ont participé à un programme de leader (cinq niveaux), suivi tour à tour le cours d’assistant-instructeur, d’instructeur et de directeur. Lorsqu’ils ont terminé les différentes étapes, ils peuvent acheter un territoire.
«Pour enseigner, il faut avoir baigné dedans.»
Le secret: garder les élèves
Le propriétaire ne cache pas l’importance d’avoir trouvé une niche. «Nous l’exploitons à fond, avoue-t-il. Le plus important, ce n’est pas d’avoir les meilleurs athlètes, mais de les garder. Quand tu les gardes, tu peux les inspirer, modeler et changer. Il fallait développer un programme familial et de rétention.»
Karaté Sportif prend en charge les élèves dès leur plus jeune âge en offrant de nombreux programmes tels Superhéros (22-44 mois), Ninja (3-5 ans), Apprenti (5-12 ans) et ados-adultes.
En 2013, Marcelin et son équipe ont créé la Fondation «Je suis le héros de ma vie», afin d’aider le plus grand nombre d’enfants à devenir une meilleure personne.