Dans Les chantiers de ma vie, Claude F. Lefebvre, en collaboration avec Hélène-Anne Bizier, retrace son parcours de sa naissance, rue Chambord, à Montréal, à ses années comme fondateur de la firme Gendron Lefebvre, en passant ses études à l’école Polytechnique et ses voyages dans le monde, plus particulièrement en Afrique.
«C’est d’abord mon passage à l’Institut Armand-Frappier, que j’avais accepté de présider pour en redresser les finances, parce que l’organisme présentait des déficits chaque année, qui m’a donné le goût d’écrire ce livre, confie Claude F. Lefebvre. On a réglé le problème en un an et tout s’est envenimé quand le politique et les syndicats y ont mis le nez.»
Vie complète
L’ouvrage de 230 pages est largement illustré. Le Lavallois y relate ses années comme président fondateur des Jeux du Québec, en 1970, puis la création de la Fondation de soutien aux arts de Laval, en 1983.
«Le sport et les arts m’ont suivi durant toute ma vie, de souligner l’homme de 84 ans. Je vais encore m’entraîner au gym trois fois par semaine et la culture demeure une de mes passions.»
Société de promotion des aéroports de Montréal, Service d’aide aux jeunes entrepreneurs de Laval, Hôpital du Sacré-Cœur et autres établissements de santé, Laval Technopole, Régie des installations olympiques, Centre d’expertise et de recherche en structures urbaines, on ne compte plus les organisations dans lesquelles ce citoyen modèle s’est impliqué.
«J’avais une santé de fer, mentionne-t-il avec humilité. Certaines années, je faisais des allers-retours en 24 heures pour le continent africain. Je défendais à mes employés de faire ce que je faisais!»
Publié aux Éditions CYFBEL, le livre a été lancé récemment à la Maison des arts de Laval.
Dans Les chantiers de ma vie, Claude F. Lefebvre, en collaboration avec Hélène-Anne Bizier, retrace son parcours de sa naissance, rue Chambord, à Montréal, à ses années comme fondateur de la firme Gendron Lefebvre, en passant ses études à l’école Polytechnique et ses voyages dans le monde, plus particulièrement en Afrique.
«C’est d’abord mon passage à l’Institut Armand-Frappier, que j’avais accepté de présider pour en redresser les finances, parce que l’organisme présentait des déficits chaque année, qui m’a donné le goût d’écrire ce livre, confie Claude F. Lefebvre. On a réglé le problème en un an et tout s’est envenimé quand le politique et les syndicats y ont mis le nez.»
Vie complète
L’ouvrage de 230 pages est largement illustré. Le Lavallois y relate ses années comme président fondateur des Jeux du Québec, en 1970, puis la création de la Fondation de soutien aux arts de Laval, en 1983.
«Le sport et les arts m’ont suivi durant toute ma vie, de souligner l’homme de 84 ans. Je vais encore m’entraîner au gym trois fois par semaine et la culture demeure une de mes passions.»
Société de promotion des aéroports de Montréal, Service d’aide aux jeunes entrepreneurs de Laval, Hôpital du Sacré-Cœur et autres établissements de santé, Laval Technopole, Régie des installations olympiques, Centre d’expertise et de recherche en structures urbaines, on ne compte plus les organisations dans lesquelles ce citoyen modèle s’est impliqué.
«J’avais une santé de fer, mentionne-t-il avec humilité. Certaines années, je faisais des allers-retours en 24 heures pour le continent africain. Je défendais à mes employés de faire ce que je faisais!»
Publié aux Éditions CYFBEL, le livre a été lancé récemment à la Maison des arts de Laval.