Les fans n’ont pas semblé trop s’en faire avec la présence des cols bleus qui manifestaient à l’extérieur sous haute surveillance policière. Ils avaient le cœur à la fête. Ils ont chanté et dansé avant de faire leur entrée au nouveau domicile du club-école du Canadien de Montréal lors de ce match inaugural.
Guy Guy Guy
L’organisation du Rocket avait réservé une surprise de taille aux partisans du Rocket lors de la mise au jeu protocolaire. Si le maire Demers a reçu un accueil tiède en étant hué par quelques personnes, l’ancien numéro 10 du Tricolore Guy Lafleur a reçu une salve d’applaudissements. Et bien entendu, les spectateurs ont scandé: Guy, Guy Guy. Le fils de Maurice Richard, André a également procédé à la mise au jeu protocolaire.
L’orchestre symphonique de Laval a interprété l’hymne national du Canada.
Lets go Rocket
Dès les premières secondes de ce match historique, les partisans ont scandé: lets go Rocket. Sans doute encouragé par la foule, le défenseur du Rocket Matt Taormina a démontré sa grande rapidité et a failli surprendre le gardien des Senators Danny Taylor avec moins d’une minute d’écouler au premier vingt.
Daniel Audette soulève la foule
Comme son père Donald l’a fait si souvent avec le Titan de Laval, Daniel a eu l’honneur d’inscrire le premier but de l’histoire du Rocket de Laval en avantage numérique. Le numéro 24 a sauté sur une rondelle libre pour loger la rondelle derrière le gardien adverse à 7:17 du premier tiers. Michael McCarron et Matt Taormina ont été complices. Chacun des partisans a reçu un foulard blanc qu’ils ont pu brandir dans les airs. Ils ont bondi de leur siège célébrant ce premier but. C’était la fête à la Place Bell.
«Je ne pouvais pas demander mieux comme premier match, souligne avec un large sourire Daniel Audette. J’étais là où ça paie devant le filet prêt à récupérer une rondelle. J’ai reçu une belle passe de McCaron. Je ne voulais pas rater mon coup.»
Audette s’est dit très heureux d’avoir compté le premier but de l’histoire du Rocket de Laval. «C’est toujours spécial de marquer le premier but d’une nouvelle franchise.»
Quelques minutes plus tard, Nikita Scherbak a servi une passe savante à Michael McCarron laissé sans surveillance. Il a facilement trompé la vigilance de Danny Taylor.
Le but d’assurance a été compté par Nicolas Deslauriers dans un filet désert. Le gardien de but Charlie Lindgren a savouré le blanchissage. Il a été intraitable devant la forteresse lavalloise.
Présence Québécoise
Pour ses débuts, le Rocket compte sur une forte représentation de joueurs originaires du Québec, dont les attaquants Daniel Audette, Nicolas Deslauriers, Jérémy Grégoire, Yannick Veilleux et Antoine Waked. Deux hockeyeurs francophones, soit Simon Bourque et Éric Gélinas, évoluent comme défenseurs tandis que le gardien Zachary Fucale fait aussi partie de l’alignement de 25 joueurs.
Les fans n’ont pas semblé trop s’en faire avec la présence des cols bleus qui manifestaient à l’extérieur sous haute surveillance policière. Ils avaient le cœur à la fête. Ils ont chanté et dansé avant de faire leur entrée au nouveau domicile du club-école du Canadien de Montréal lors de ce match inaugural.
Guy Guy Guy
L’organisation du Rocket avait réservé une surprise de taille aux partisans du Rocket lors de la mise au jeu protocolaire. Si le maire Demers a reçu un accueil tiède en étant hué par quelques personnes, l’ancien numéro 10 du Tricolore Guy Lafleur a reçu une salve d’applaudissements. Et bien entendu, les spectateurs ont scandé: Guy, Guy Guy. Le fils de Maurice Richard, André a également procédé à la mise au jeu protocolaire.
L’orchestre symphonique de Laval a interprété l’hymne national du Canada.
Lets go Rocket
Dès les premières secondes de ce match historique, les partisans ont scandé: lets go Rocket. Sans doute encouragé par la foule, le défenseur du Rocket Matt Taormina a démontré sa grande rapidité et a failli surprendre le gardien des Senators Danny Taylor avec moins d’une minute d’écouler au premier vingt.
Daniel Audette soulève la foule
Comme son père Donald l’a fait si souvent avec le Titan de Laval, Daniel a eu l’honneur d’inscrire le premier but de l’histoire du Rocket de Laval en avantage numérique. Le numéro 24 a sauté sur une rondelle libre pour loger la rondelle derrière le gardien adverse à 7:17 du premier tiers. Michael McCarron et Matt Taormina ont été complices. Chacun des partisans a reçu un foulard blanc qu’ils ont pu brandir dans les airs. Ils ont bondi de leur siège célébrant ce premier but. C’était la fête à la Place Bell.
«Je ne pouvais pas demander mieux comme premier match, souligne avec un large sourire Daniel Audette. J’étais là où ça paie devant le filet prêt à récupérer une rondelle. J’ai reçu une belle passe de McCaron. Je ne voulais pas rater mon coup.»
Audette s’est dit très heureux d’avoir compté le premier but de l’histoire du Rocket de Laval. «C’est toujours spécial de marquer le premier but d’une nouvelle franchise.»
Quelques minutes plus tard, Nikita Scherbak a servi une passe savante à Michael McCarron laissé sans surveillance. Il a facilement trompé la vigilance de Danny Taylor.
Le but d’assurance a été compté par Nicolas Deslauriers dans un filet désert. Le gardien de but Charlie Lindgren a savouré le blanchissage. Il a été intraitable devant la forteresse lavalloise.
Présence Québécoise
Pour ses débuts, le Rocket compte sur une forte représentation de joueurs originaires du Québec, dont les attaquants Daniel Audette, Nicolas Deslauriers, Jérémy Grégoire, Yannick Veilleux et Antoine Waked. Deux hockeyeurs francophones, soit Simon Bourque et Éric Gélinas, évoluent comme défenseurs tandis que le gardien Zachary Fucale fait aussi partie de l’alignement de 25 joueurs.