L’athlète de 19 ans a obtenu une bourse d’études pour les quatre prochaines années et opté pour l’Utah en raison de son excellent programme de basketball. «J’ai bien hâte de retrouver Maurane. Ça va m’aider.»
Andrea a eu plusieurs invitations d’universités. Son talent et sa détermination lui ont permis de choisir l’endroit où elle ira jouer. «J’ai été fort impressionnée par les installations, avec son énorme vestiaire, spa, bain de glace, mentionne-t-elle. Elles sont incroyables. J’ai bien aimé aussi ma visite à l’Université James Madison.»
Elle croit que le nouveau groupe d’entraîneurs en place depuis trois ans en Utah a motivé son choix, tout comme le fait que l’organisation est sur une pente montante.
Elle aimerait percer l’alignement partant de cette formation qui évolue dans la conférence Pacific-12, un des cinq meilleurs circuits de basketball féminin aux États-Unis. «La compétition sera féroce. Ce sera un gros défi.»
Aider les Nomades
Malgré qu’elle soit l’une des 12 joueuses régulières de l’équipe féminine du Canada, Andrea fait aussi partie de la formation du Collège Montmorency, où elle campe le rôle de capitaine.
«J’espère que nous allons faire encore mieux qu’en 2016-17», souligne celle qui en sera à une dernière campagne dans les rangs collégiaux.
Elle veut aider les Nomades à remporter les grands honneurs, et ce, autant au niveau provincial que national. «Je veux améliorer mon lancer de la zone de trois points et plusieurs autres points», confie-t-elle.
Andrea Torres a apprécié son séjour avec les Nomades. Elle a d’ailleurs décroché trois médailles d’or, une au Championnat canadien et deux autres aux Championnats provinciaux.
«L’encadrement a été exceptionnel à Montmorency, insiste-t-elle. Mes entraîneurs ont été formidables dans mon développement. J’ai beaucoup appris.»
Du bronze en Italie
À la fin de juillet, l’équipe canadienne féminine de basketball, dont faisait partie Andrea Torres, a remporté une médaille de bronze lors de la dernière coupe du monde de la Fédération internationale de basketball amateur qui se déroulait en Italie.
Jeux olympiques
Une saison en NCAA ne compromettra pas son engagement envers l’équipe du Canada. D’ailleurs, son rêve le plus fou est de participer aux Jeux olympiques d’été de 2020 qui se tiendront à Tokyo.
L’ancienne joueuse étoile des Maraudeurs du Collège Laval n’a pas l’intention de s’arrêter à la NCAA ou aux Olympiques. «Après mon stage universitaire, je veux aller jouer pro en Europe, précise-t-elle. J’aime bien voyager et j’adore mon sport.»
Sur les traces de grand-père
Andrea a de qui tenir puisque son père Pablo et son grand-père Manuel ont pratiqué ce sport. «Mon grand-père a été ma première idole, souligne-t-elle. D’ailleurs, il joue encore. Il a participé à un tournoi pour les 70 ans et plus.» Âgé de 75 ans, Manuel Torres a été un membre régulier de l’équipe nationale du Chili. «Mon grand-père me donne souvent des trucs», termine Andrea Torres.
L’athlète de 19 ans a obtenu une bourse d’études pour les quatre prochaines années et opté pour l’Utah en raison de son excellent programme de basketball. «J’ai bien hâte de retrouver Maurane. Ça va m’aider.»
Andrea a eu plusieurs invitations d’universités. Son talent et sa détermination lui ont permis de choisir l’endroit où elle ira jouer. «J’ai été fort impressionnée par les installations, avec son énorme vestiaire, spa, bain de glace, mentionne-t-elle. Elles sont incroyables. J’ai bien aimé aussi ma visite à l’Université James Madison.»
Elle croit que le nouveau groupe d’entraîneurs en place depuis trois ans en Utah a motivé son choix, tout comme le fait que l’organisation est sur une pente montante.
Elle aimerait percer l’alignement partant de cette formation qui évolue dans la conférence Pacific-12, un des cinq meilleurs circuits de basketball féminin aux États-Unis. «La compétition sera féroce. Ce sera un gros défi.»
Aider les Nomades
Malgré qu’elle soit l’une des 12 joueuses régulières de l’équipe féminine du Canada, Andrea fait aussi partie de la formation du Collège Montmorency, où elle campe le rôle de capitaine.
«J’espère que nous allons faire encore mieux qu’en 2016-17», souligne celle qui en sera à une dernière campagne dans les rangs collégiaux.
Elle veut aider les Nomades à remporter les grands honneurs, et ce, autant au niveau provincial que national. «Je veux améliorer mon lancer de la zone de trois points et plusieurs autres points», confie-t-elle.
Andrea Torres a apprécié son séjour avec les Nomades. Elle a d’ailleurs décroché trois médailles d’or, une au Championnat canadien et deux autres aux Championnats provinciaux.
«L’encadrement a été exceptionnel à Montmorency, insiste-t-elle. Mes entraîneurs ont été formidables dans mon développement. J’ai beaucoup appris.»
Du bronze en Italie
À la fin de juillet, l’équipe canadienne féminine de basketball, dont faisait partie Andrea Torres, a remporté une médaille de bronze lors de la dernière coupe du monde de la Fédération internationale de basketball amateur qui se déroulait en Italie.
Jeux olympiques
Une saison en NCAA ne compromettra pas son engagement envers l’équipe du Canada. D’ailleurs, son rêve le plus fou est de participer aux Jeux olympiques d’été de 2020 qui se tiendront à Tokyo.
L’ancienne joueuse étoile des Maraudeurs du Collège Laval n’a pas l’intention de s’arrêter à la NCAA ou aux Olympiques. «Après mon stage universitaire, je veux aller jouer pro en Europe, précise-t-elle. J’aime bien voyager et j’adore mon sport.»
Sur les traces de grand-père
Andrea a de qui tenir puisque son père Pablo et son grand-père Manuel ont pratiqué ce sport. «Mon grand-père a été ma première idole, souligne-t-elle. D’ailleurs, il joue encore. Il a participé à un tournoi pour les 70 ans et plus.» Âgé de 75 ans, Manuel Torres a été un membre régulier de l’équipe nationale du Chili. «Mon grand-père me donne souvent des trucs», termine Andrea Torres.