Le 21 novembre, le personnel du secteur préhospitalier a bloqué tous les accès aux bureaux du ministère de la Santé et des Services sociaux situés au 1075, chemin Sainte-Foy, à Québec.
«Le ministre Barrette bloque actuellement les négociations, d’affirmer Réjean Leclerc, président du Syndicat du préhospitalier – CSN. Notre entente est conditionnelle à ce que les autres groupes du préhospitalier adhèrent au régime de retraite proposé.»
Depuis juillet, le MSSS et Gaétan Barrette lui-même ont demandé des délais supplémentaires pour s’entendre hors de Laval et Montréal. Le dernier ultimatum prenait fin le 10 novembre
«Dans un total manque d’élégance que j’ai rarement vu, c’est maintenant silence radio, d’ajouter Réjean Leclerc. Nous préparons d’autres actions, ce comportement étant inacceptable quand on a déjà contracté une entente!»
À moins d’un revirement de situation, une nouvelle grève sera déclenchée au moment jugé opportun, incluant des moyens de pression administratifs qui auront un impact encore plus fort que ceux déployés jusqu’à maintenant. Toutefois, elle ne touchera pas les services directs à la population.
Le 21 novembre, le personnel du secteur préhospitalier a bloqué tous les accès aux bureaux du ministère de la Santé et des Services sociaux situés au 1075, chemin Sainte-Foy, à Québec.
«Le ministre Barrette bloque actuellement les négociations, d’affirmer Réjean Leclerc, président du Syndicat du préhospitalier – CSN. Notre entente est conditionnelle à ce que les autres groupes du préhospitalier adhèrent au régime de retraite proposé.»
Depuis juillet, le MSSS et Gaétan Barrette lui-même ont demandé des délais supplémentaires pour s’entendre hors de Laval et Montréal. Le dernier ultimatum prenait fin le 10 novembre
«Dans un total manque d’élégance que j’ai rarement vu, c’est maintenant silence radio, d’ajouter Réjean Leclerc. Nous préparons d’autres actions, ce comportement étant inacceptable quand on a déjà contracté une entente!»
À moins d’un revirement de situation, une nouvelle grève sera déclenchée au moment jugé opportun, incluant des moyens de pression administratifs qui auront un impact encore plus fort que ceux déployés jusqu’à maintenant. Toutefois, elle ne touchera pas les services directs à la population.