Une somme de 31 755 $ sera donc versée à ce centre de ressources périnatales afin de couvrir le loyer jusqu’en mars 2018.
«C’est une aide exceptionnelle accordée en raison de notre volonté ferme de soutenir Mieux-Naître à Laval au cours des prochains mois, a souligné par voie de communiqué le maire Marc Demers. Cela fait aussi écho à la présence de plusieurs jeunes mères et pères de Laval qui s’étaient déplacés au conseil municipal, au printemps dernier, pour nous demander un appui.»
Inquiète de perdre son toit, la directrice Lysane Gagnon avait également interpellé l’administration Demers très récemment. «Le temps pressait parce que ceux qui occupaient les locaux à côté des nôtres voulaient agrandir. Je leur ai parlé de la situation et demandé s’il existait un fonds d’urgence. Le lendemain, on apprenait la bonne nouvelle!»
Survie
Rappelons que Mieux-Naître à Laval, qui fait partie d’un regroupement de 18 centres de ressources périnatales (CRP) en province, lutte pour sa survie depuis des mois, après avoir reçu une réponse négative de la part du ministère de la Santé pour son financement récurrent. Manifestations, sorties publiques, pétition, l’organisme tente par tous les moyens d’assurer son existence dans une ville qui dénombre quelque 4300 naissances annuellement.
Le 19 octobre, Mieux-Naître à Laval s’est présenté devant les membres du conseil d’administration du Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval, afin de demander l’adoption d’une résolution semblable à celle exprimée par le conseil municipal à la séance du 4 octobre. Adoptée à l’unanimité par les élus municipaux, cette résolution, déposée par Sandra Desmeules, conseillère de Concorde-Bois-de-Boulogne, demande au gouvernement qu’il finance adéquatement le seul centre de ressources périnatales présent sur l’île Jésus.
«Nous sommes en attente d’une réponse du CISSS. La prochaine rencontre du conseil d’administration est le 16 novembre», indique Lysane Grégoire, ajoutant que les énergies pourront maintenant être dédiées à «l’objectif ultime et incontournable qui consiste à intégrer l’enveloppe dédiée aux CRP logée au ministère de la Santé et des Services sociaux».
Une somme de 31 755 $ sera donc versée à ce centre de ressources périnatales afin de couvrir le loyer jusqu’en mars 2018.
«C’est une aide exceptionnelle accordée en raison de notre volonté ferme de soutenir Mieux-Naître à Laval au cours des prochains mois, a souligné par voie de communiqué le maire Marc Demers. Cela fait aussi écho à la présence de plusieurs jeunes mères et pères de Laval qui s’étaient déplacés au conseil municipal, au printemps dernier, pour nous demander un appui.»
Inquiète de perdre son toit, la directrice Lysane Gagnon avait également interpellé l’administration Demers très récemment. «Le temps pressait parce que ceux qui occupaient les locaux à côté des nôtres voulaient agrandir. Je leur ai parlé de la situation et demandé s’il existait un fonds d’urgence. Le lendemain, on apprenait la bonne nouvelle!»
Survie
Rappelons que Mieux-Naître à Laval, qui fait partie d’un regroupement de 18 centres de ressources périnatales (CRP) en province, lutte pour sa survie depuis des mois, après avoir reçu une réponse négative de la part du ministère de la Santé pour son financement récurrent. Manifestations, sorties publiques, pétition, l’organisme tente par tous les moyens d’assurer son existence dans une ville qui dénombre quelque 4300 naissances annuellement.
Le 19 octobre, Mieux-Naître à Laval s’est présenté devant les membres du conseil d’administration du Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval, afin de demander l’adoption d’une résolution semblable à celle exprimée par le conseil municipal à la séance du 4 octobre. Adoptée à l’unanimité par les élus municipaux, cette résolution, déposée par Sandra Desmeules, conseillère de Concorde-Bois-de-Boulogne, demande au gouvernement qu’il finance adéquatement le seul centre de ressources périnatales présent sur l’île Jésus.
«Nous sommes en attente d’une réponse du CISSS. La prochaine rencontre du conseil d’administration est le 16 novembre», indique Lysane Grégoire, ajoutant que les énergies pourront maintenant être dédiées à «l’objectif ultime et incontournable qui consiste à intégrer l’enveloppe dédiée aux CRP logée au ministère de la Santé et des Services sociaux».