sAu total, 11 établissements sur l’île accueillent ce programme, principalement au primaire. Les quatre premiers Clubs ont vu le jour en 2004 et les autres ont suivi en 2005, 2006, 2008, 2010 et 2012. «Nous sommes beaucoup concentrés dans le quartier Chomedey, révèle Marie-Josée Lapratte, directrice du programme pour l’est du Canada. Présentement, deux écoles sont toutefois inactives en raison du manque de bénévoles.»
Il s’agit de John-F.-Kennedy et St-Paul qui, en janvier dernier, avait perdu sa bénévole en chef, causant la fermeture temporaire du Club desservant 180 enfants. «Nous avons finalement trouvé quelqu’un et les activités devraient reprendre rapidement», se réjouit Mme Lapratte.
Liste d’attente
Actuellement, 59 écoles figurent sur la liste d’attente du regroupement fondé par Daniel Germain et Judith Barry, qui sont toujours actifs au sein du Club. Parmi celles-ci, on retrouve l’école secondaire Mont-de-La Salle, située sur le boulevard des Prairies, à Laval-des-Rapides.
«Plusieurs critères sont analysés avant de s’installer dans une école, parce qu’une fois implanté, on ne veut pas briser des promesses [et quitter par la suite], explique Marie-Josée Lapratte, citant la date de la demande, ce qui existe déjà au sein de l’établissement et la disponibilité des ressources humaines, entre autres, comme facteurs déterminants.
Le nombre de Clubs ouverts peut varier d’une rentrée scolaire à l’autre. «Certaines années il y en a eu 30, d’autres 10», indique la directrice.
Partenaires alimentaires
Dans sa mission de nourrir des milliers de jeunes au Québec, le Club des petits déjeuners compte sur de nombreux partenaires alimentaires, dont plus d’une dizaine est avec l’organisation depuis le premier repas servi en 1994, à Longueuil.
«Tous les aliments sont amenés à notre entrepôt de distribution à Boucherville et par la suite, nos transporteurs font la livraison partout en province aux quatre semaines», rapporte Mme Lapratte.
Bénévolat
Le bon fonctionnement des Clubs repose en grande partie sur l’apport bénévole. Sur l’île Jésus, quelque 70 personnes sont dévouées à leurs tâches et elles ne sont pas nécessairement rattachées à l’établissement desservi.
«Il y a des entreprises qui adoptent un Club. Par exemple, à Laval, les compagnies RTI et Steamatic envoient des employés faire du bénévolat respectivement aux écoles Les Quatre-Vents et Simon-Vanier. Il y a aussi des employés administratifs de la Commission scolaire de Laval qui s’impliquent», fait valoir Marie-Josée Lapratte.
Les gens et entreprises désireuses de donner du temps pour la cause du Club des petits déjeuners à Laval peuvent contacter l’organisme via son site Web à www.breakfastclubcanada.org/fr/ ou téléphoner au 450 641-3230.
sAu total, 11 établissements sur l’île accueillent ce programme, principalement au primaire. Les quatre premiers Clubs ont vu le jour en 2004 et les autres ont suivi en 2005, 2006, 2008, 2010 et 2012. «Nous sommes beaucoup concentrés dans le quartier Chomedey, révèle Marie-Josée Lapratte, directrice du programme pour l’est du Canada. Présentement, deux écoles sont toutefois inactives en raison du manque de bénévoles.»
Il s’agit de John-F.-Kennedy et St-Paul qui, en janvier dernier, avait perdu sa bénévole en chef, causant la fermeture temporaire du Club desservant 180 enfants. «Nous avons finalement trouvé quelqu’un et les activités devraient reprendre rapidement», se réjouit Mme Lapratte.
Liste d’attente
Actuellement, 59 écoles figurent sur la liste d’attente du regroupement fondé par Daniel Germain et Judith Barry, qui sont toujours actifs au sein du Club. Parmi celles-ci, on retrouve l’école secondaire Mont-de-La Salle, située sur le boulevard des Prairies, à Laval-des-Rapides.
«Plusieurs critères sont analysés avant de s’installer dans une école, parce qu’une fois implanté, on ne veut pas briser des promesses [et quitter par la suite], explique Marie-Josée Lapratte, citant la date de la demande, ce qui existe déjà au sein de l’établissement et la disponibilité des ressources humaines, entre autres, comme facteurs déterminants.
Le nombre de Clubs ouverts peut varier d’une rentrée scolaire à l’autre. «Certaines années il y en a eu 30, d’autres 10», indique la directrice.
Partenaires alimentaires
Dans sa mission de nourrir des milliers de jeunes au Québec, le Club des petits déjeuners compte sur de nombreux partenaires alimentaires, dont plus d’une dizaine est avec l’organisation depuis le premier repas servi en 1994, à Longueuil.
«Tous les aliments sont amenés à notre entrepôt de distribution à Boucherville et par la suite, nos transporteurs font la livraison partout en province aux quatre semaines», rapporte Mme Lapratte.
Bénévolat
Le bon fonctionnement des Clubs repose en grande partie sur l’apport bénévole. Sur l’île Jésus, quelque 70 personnes sont dévouées à leurs tâches et elles ne sont pas nécessairement rattachées à l’établissement desservi.
«Il y a des entreprises qui adoptent un Club. Par exemple, à Laval, les compagnies RTI et Steamatic envoient des employés faire du bénévolat respectivement aux écoles Les Quatre-Vents et Simon-Vanier. Il y a aussi des employés administratifs de la Commission scolaire de Laval qui s’impliquent», fait valoir Marie-Josée Lapratte.
Les gens et entreprises désireuses de donner du temps pour la cause du Club des petits déjeuners à Laval peuvent contacter l’organisme via son site Web à www.breakfastclubcanada.org/fr/ ou téléphoner au 450 641-3230.