«On leurre encore une fois les Lavallois en leur disant qu’on va les taxer en bas du taux d’inflation parce que c’est faux», a-t-il réagi dans les minutes suivant le dévoilement du budget, le 11 décembre.
Il en veut pour preuve les trois budgets précédents où le compte de taxes moyen a subi une hausse combinée de 6,5 %, alors que l’inflation réelle totalisait 3,2 %.
«La stratégie continue. On aurait pu facilement alléger le fardeau fiscal des Lavallois», de poursuivre le chef de Parti Laval en évoquant les surplus engrangés depuis 2015.
Rappelons qu’au cours de la dernière campagne, M. Trottier s’était engagé à ne pas hausser les taxes des Lavallois pour les quatre années d’un premier mandat pour autant que l’IPC demeure sous la barre des 3 %.
Le chef de l’opposition a aussi questionné le «manque de transparence» entourant la réforme fiscale visant la disposition de la neige, laquelle représentera pour un peu plus de 50 000 Lavallois une hausse supérieure à l’augmentation de 1,4 % des charges fiscales annoncées.
Cela tombe «quelques jours après les élections sans que les Lavallois en aient été avisés», déplore-t-il.
Subvention aux aînés
Par ailleurs, M. Trottier reproche à l’administration Demers de bonifier de 50 % la subvention universelle pour le maintien à domicile des personnes âgées sans jamais en avoir évalué son impact réel, mentionne-t-il.
«Ç’aurait pris un certain courage politique pour l’analyser et voir à la rendre peut-être plus favorable aux clientèles défavorisées, peu importe leur âge.»
Le chef de Parti Laval n’a pas manqué de rappeler que cette mesure est un copier-coller de l’ancien programme de remboursement de la taxe d’eau implanté sous Gilles Vaillancourt à la fin des années 80, qui pour être en loi a dû être transformé en un octroi pour le maintien à domicile des aînés.
Tel que l’avait promis Marc Demers en campagne électorale, ce programme est passé de 100 à 150 $ par unité d’habitation, et ce, sans égard aux revenus des occupants et de 200 à 300 $ par année lorsque la personne est admissible au supplément de revenu garanti.
«On leurre encore une fois les Lavallois en leur disant qu’on va les taxer en bas du taux d’inflation parce que c’est faux», a-t-il réagi dans les minutes suivant le dévoilement du budget, le 11 décembre.
Il en veut pour preuve les trois budgets précédents où le compte de taxes moyen a subi une hausse combinée de 6,5 %, alors que l’inflation réelle totalisait 3,2 %.
«La stratégie continue. On aurait pu facilement alléger le fardeau fiscal des Lavallois», de poursuivre le chef de Parti Laval en évoquant les surplus engrangés depuis 2015.
Rappelons qu’au cours de la dernière campagne, M. Trottier s’était engagé à ne pas hausser les taxes des Lavallois pour les quatre années d’un premier mandat pour autant que l’IPC demeure sous la barre des 3 %.
Le chef de l’opposition a aussi questionné le «manque de transparence» entourant la réforme fiscale visant la disposition de la neige, laquelle représentera pour un peu plus de 50 000 Lavallois une hausse supérieure à l’augmentation de 1,4 % des charges fiscales annoncées.
Cela tombe «quelques jours après les élections sans que les Lavallois en aient été avisés», déplore-t-il.
Subvention aux aînés
Par ailleurs, M. Trottier reproche à l’administration Demers de bonifier de 50 % la subvention universelle pour le maintien à domicile des personnes âgées sans jamais en avoir évalué son impact réel, mentionne-t-il.
«Ç’aurait pris un certain courage politique pour l’analyser et voir à la rendre peut-être plus favorable aux clientèles défavorisées, peu importe leur âge.»
Le chef de Parti Laval n’a pas manqué de rappeler que cette mesure est un copier-coller de l’ancien programme de remboursement de la taxe d’eau implanté sous Gilles Vaillancourt à la fin des années 80, qui pour être en loi a dû être transformé en un octroi pour le maintien à domicile des aînés.
Tel que l’avait promis Marc Demers en campagne électorale, ce programme est passé de 100 à 150 $ par unité d’habitation, et ce, sans égard aux revenus des occupants et de 200 à 300 $ par année lorsque la personne est admissible au supplément de revenu garanti.