Les demandes téléphoniques de cet outil d’information et de références sociocommunautaires sont gérées par le Centre de Référence du Grand Montréal et de novembre à janvier, on recense un peu moins de 800 appels en provenance de l’île Jésus..
L’âge moyen des gens qui ont recours au service est de 56 ans et beaucoup d’appels sont liés à l’immigration (ressources communautaires pour faciliter l’accueil et l’intégration). Les autres portent sur les besoins fondamentaux, dont l’aide alimentaire, le transport, le logement abordable, les dons de biens et meubles ainsi que le soutien.
«L’objectif d’appels pour l’année 1 est de 4250, donc 354 par mois, une moyenne conservatrice si on compare avec les autres services 211 au Canada», explique Pierrette Gagné, directrice générale du Centre, ajoutant que tous les autres services canadiens avaient vécu une période d’adaptation similaire.
Cette dernière constate toutefois une hausse ces derniers temps, résultat de la promotion faite par les organismes et l’infolettre de la Ville.
Quant aux visites sur le site Web du service 211, on en dénombre 3678 jusqu’à présent.
Une campagne de promotion se mettra d’ailleurs en branle prochainement, histoire de faire encore mieux connaître ce service et aider à le différencier du 311 et 811.