L’entraîneur de la formation ontarienne, Steve Sumarah, en a fait l’annonce dans un communiqué, le 25 avril.
«Je suis très honoré de me retrouver avec les Ravens, affirme David Caron. Je serai impliqué dans les stratégies défensives et responsable du recrutement au Québec.»
David ne songe pas à faire carrière au niveau professionnel. «J’y vais au jour le jour. Pour l’instant, je veux m’assurer du succès de ma nouvelle équipe. Je suis un gars soucieux du détail, intense et travaillant. Je pense bien que c’est pour cela que l’entraîneur Sumarah m’a embauché. On a confiance en moi et c’est très rassurant.»
Retour au bercail
David a encerclé sur son calendrier la date du 19 août, puisque les Ravens affronteront dans un match préparatoire le Rouge et Or de l’Université Laval, à Québec. Parions que l’unité défensive en aura plein les bras.
«J’ai bien hâte de vivre ce moment. On aimerait bien les affronter à nouveau en demi-finale canadienne ou à la Coupe Vanier. Hormis les matchs hors-concours, ce sont les seules occasions d’affronter les équipes du Québec.»
Carrière d’entraîneur
Après avoir pris une retraite prématurée du football en raison de blessures, le Lavallois a décidé de poursuivre des études en kinésiologie et d’entreprendre une carrière d’entraîneur.
Au cours des trois dernières années, David agissait comme entraîneur de la ligne défensive et coordonnateur des unités spéciales des Élans du Collège F.X. Garneau, division 1. Il s’occupait également de la préparation physique des joueurs.
«Quand j’ai terminé mes études, on m’a offert un emploi à temps plein avec les Élans. Je ne pouvais pas refuser cette offre de gagner ma vie avec ma passion du football.»
Bien entendu, ce ne fut pas un choix facile pour David de quitter les Élans et le Québec. «Je suis prêt pour ce nouveau défi», stipule le frère de Pierre-Luc qui porte les couleurs des Stampeders de Calgary, de la Ligue canadienne de football (LCF).
Auparavant, David a dirigé la ligne défensive des Loups durant sept saisons. «Je conserve d’excellents souvenirs de Curé-Antoine-Labelle.»
L’entraîneur de la formation ontarienne, Steve Sumarah, en a fait l’annonce dans un communiqué, le 25 avril.
«Je suis très honoré de me retrouver avec les Ravens, affirme David Caron. Je serai impliqué dans les stratégies défensives et responsable du recrutement au Québec.»
David ne songe pas à faire carrière au niveau professionnel. «J’y vais au jour le jour. Pour l’instant, je veux m’assurer du succès de ma nouvelle équipe. Je suis un gars soucieux du détail, intense et travaillant. Je pense bien que c’est pour cela que l’entraîneur Sumarah m’a embauché. On a confiance en moi et c’est très rassurant.»
Retour au bercail
David a encerclé sur son calendrier la date du 19 août, puisque les Ravens affronteront dans un match préparatoire le Rouge et Or de l’Université Laval, à Québec. Parions que l’unité défensive en aura plein les bras.
«J’ai bien hâte de vivre ce moment. On aimerait bien les affronter à nouveau en demi-finale canadienne ou à la Coupe Vanier. Hormis les matchs hors-concours, ce sont les seules occasions d’affronter les équipes du Québec.»
Carrière d’entraîneur
Après avoir pris une retraite prématurée du football en raison de blessures, le Lavallois a décidé de poursuivre des études en kinésiologie et d’entreprendre une carrière d’entraîneur.
Au cours des trois dernières années, David agissait comme entraîneur de la ligne défensive et coordonnateur des unités spéciales des Élans du Collège F.X. Garneau, division 1. Il s’occupait également de la préparation physique des joueurs.
«Quand j’ai terminé mes études, on m’a offert un emploi à temps plein avec les Élans. Je ne pouvais pas refuser cette offre de gagner ma vie avec ma passion du football.»
Bien entendu, ce ne fut pas un choix facile pour David de quitter les Élans et le Québec. «Je suis prêt pour ce nouveau défi», stipule le frère de Pierre-Luc qui porte les couleurs des Stampeders de Calgary, de la Ligue canadienne de football (LCF).
Auparavant, David a dirigé la ligne défensive des Loups durant sept saisons. «Je conserve d’excellents souvenirs de Curé-Antoine-Labelle.»