Voilà un des messages forts lancés par la directrice de l’organisme Mouvement santé mentale Québec (MSMQ), Renée Ouimet, lors d’une conférence prononcée le 24 septembre dans le cadre d’un Salon visant à briser les tabous.
Une «approche positive» saluée par plusieurs personnes présentes dans la salle.
En clair, on peut très bien vivre avec une maladie mentale et avoir un bien-être mental auquel pourrait contribuer, par exemple, des relations satisfaisantes, un emploi épanouissant et des activités stimulantes.
Équilibre
Selon l’Organisation mondiale de la santé, les maladies mentales représenteront d’ici 10 ans le deuxième problème de santé le plus important. En foi de quoi, personne n’y est à l’abri.
Composante essentielle de la santé, la promotion de la santé mentale repose sur «un équilibre dynamique entre les différentes sphères de la vie : sociale, physique, spirituelle, économique, émotionnelle et mentale». Elle permet, entre autres, de faire face aux difficultés normales de la vie et de les surmonter.
Sept astuces
Mme Ouimet a levé le voile sur les principaux facteurs de protection susceptibles de prévenir, mais également de sortir d’un problème de santé mentale.
Incidemment, la campagne promotionnelle 2017-2018 de MSMQ porte sur les «7 astuces pour se recharger» et être bien dans sa tête.
Agir, ressentir, s’accepter, se ressourcer, découvrir, choisir et créer des liens en constituent les fondations.
«Il faut apprendre à travailler sur ce qui crée la santé», insiste Renée Ouimet en faisant valoir ce qu’elle qualifie d’«axe du bien-être».
Multipliant les exemples pour chacune de ces actions à poser, elle souligne notamment l’importance de bouger, donner un sens à sa vie en fonctions de ses valeurs, s’investir dans son milieu, faire preuve d’empathie et d’entraide, reconnaître ses émotions, ses forces, ses difficultés et ses limites, exprimer ses besoins, s’ouvrir aux changements, accepter de sortir de sa zone de confort, apprendre à gérer les imprévus,, tisser des liens et se bâtir un réseau social.
«Juste de dire bonjour à un voisin nous rend déjà la vie plus agréable», observe-t-elle.
Voilà un des messages forts lancés par la directrice de l’organisme Mouvement santé mentale Québec (MSMQ), Renée Ouimet, lors d’une conférence prononcée le 24 septembre dans le cadre d’un Salon visant à briser les tabous.
Une «approche positive» saluée par plusieurs personnes présentes dans la salle.
En clair, on peut très bien vivre avec une maladie mentale et avoir un bien-être mental auquel pourrait contribuer, par exemple, des relations satisfaisantes, un emploi épanouissant et des activités stimulantes.
Équilibre
Selon l’Organisation mondiale de la santé, les maladies mentales représenteront d’ici 10 ans le deuxième problème de santé le plus important. En foi de quoi, personne n’y est à l’abri.
Composante essentielle de la santé, la promotion de la santé mentale repose sur «un équilibre dynamique entre les différentes sphères de la vie : sociale, physique, spirituelle, économique, émotionnelle et mentale». Elle permet, entre autres, de faire face aux difficultés normales de la vie et de les surmonter.
Sept astuces
Mme Ouimet a levé le voile sur les principaux facteurs de protection susceptibles de prévenir, mais également de sortir d’un problème de santé mentale.
Incidemment, la campagne promotionnelle 2017-2018 de MSMQ porte sur les «7 astuces pour se recharger» et être bien dans sa tête.
Agir, ressentir, s’accepter, se ressourcer, découvrir, choisir et créer des liens en constituent les fondations.
«Il faut apprendre à travailler sur ce qui crée la santé», insiste Renée Ouimet en faisant valoir ce qu’elle qualifie d’«axe du bien-être».
Multipliant les exemples pour chacune de ces actions à poser, elle souligne notamment l’importance de bouger, donner un sens à sa vie en fonctions de ses valeurs, s’investir dans son milieu, faire preuve d’empathie et d’entraide, reconnaître ses émotions, ses forces, ses difficultés et ses limites, exprimer ses besoins, s’ouvrir aux changements, accepter de sortir de sa zone de confort, apprendre à gérer les imprévus,, tisser des liens et se bâtir un réseau social.
«Juste de dire bonjour à un voisin nous rend déjà la vie plus agréable», observe-t-elle.