Le complexe aura une superficie de 11 400 m2 dans lequel, il y aura trois bassins pouvant accueillir 875 baigneurs et 1200 spectateurs.
«Je croyais ça important de sortir cette primeur devant des jeunes athlètes et leur entourage parce que c’est pour eux que nous allons aller de l’avant avec ce projet, a-t-il précisé. Nous voulons que nos athlètes puissent s’entraîner chez eux. Nous voulons le plus beau au Québec.»
Le centre aquatique sera érigé près du Cosmodôme et devrait ouvrir ses portes en juin 2020. «Je n’aime pas donner des dates parce qu’on ne connaît pas les impondérables qui peuvent survenir pendant la construction, mais il est réaliste de dire que d’ici quatre ans, il sera prêt», a ajouté le maire de Laval.
«Le potentiel attractif de cet équipement unique dans la région contribuera à stimuler fortement le secteur récréotouristique de Laval en générant des retombées économiques uniques. »
Il n’a également pas voulu s’avancer sur la date de la première pelletée de terre puisqu’il reste encore quelques ficelles à attacher et, pour ça, il faut s’adresser aux paliers gouvernementaux supérieurs.
«Il faut attendre de savoir ce qu’on va recevoir comme subvention du fédéral, mais aussi du provincial, a-t-il argué. Il y a également quelques autorisations à obtenir de différents ministères, comme celui des Transports afin de procéder à un réaménagement routier pour rendre la circulation encore plus fluide.
«Quand j’annonce quelque chose, c’est que ça va se produire, même si pour le moment nous ne pouvons pas confirmer quand les travaux vont commencer. Je certifie que le centre aquatique verra le jour.»
Place Bell
Devant plusieurs athlètes des sports de glace, Marc Demers a aussi profité de l’occasion pour faire un petit compte rendu sur la construction de la Place Bell. «Tout se passe comme prévu, le budget sera respecté tout comme l’échéancier. Elle sera prête en septembre 2017.»
Il a rappelé que des travaux sont en cours dans les arénas Samson et Saint-François, et ce, jusqu’en décembre 2016.
«Il y a plusieurs arénas qui ont besoin de rénovations majeures, mais nous ne pouvons pas en fermer plus que deux en même temps afin d’assurer un certain service à la population.»