«Nous avons reçu de l’aide de la compagnie les Aliments Maple Leaf pour réduire les déchets en mettant sous vide des conserves, assure M. Gagnon. Ça faisait trois ans que nous avions l’œil sur un tel projet.»
L’organisme doit suivre les normes du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) dans le processus du sous vide ou de refroidissement des aliments. «Dans une soupe Habitant, on peut y ajouter des légumes», précise-t-il.
Si le chef Bob prépare des recettes, une technicienne en nutrition conçoit les étiquettes des conserves et s’occupe d’inscrire les portions et autres détails sur les boîtes. «On ne jette plus autant de cannes, insiste-t-il. En récupérant de la sorte, on aide l’environnement.»
Fraîcheur
Depuis quelques années, M. Gagnon ne s’en cache pas, le CBML offre des aliments plus sains, frais et diversifiés. S’il est vital que les banques alimentaires répondent aux besoins immédiats des personnes vivant dans l’insécurité alimentaire, elles peuvent aussi contribuer à la création d’un système alimentaire durable. «Notre rêve serait que personne n’ait plus à avoir besoin d’aide alimentaire d’urgence», indique-t-il.
20 000
La banque alimentaire régionale approvisionne chaque semaine 70 organismes communautaires de Laval. Plus de 20 000 personnes par mois reçoivent une aide alimentaire. «C’est sans parler des 3900 déjeuners que nous offrons dans les écoles. Ça nous garde occupés.»
Produits moches
Le Centre de bénévolat et moisson Laval travaille sur la récupération des produits prêts à consommer. D’ailleurs, des organismes viennent chercher leur bac de fruits et légumes pour transformer ces aliments. «Nous travaillons sur cette gamme de produits moches. Nous enlevons les parties défraîchies sur la salade, les fraises, etc. On est vraiment fier de ce programme», termine Jean Gagnon.
«Nous avons reçu de l’aide de la compagnie les Aliments Maple Leaf pour réduire les déchets en mettant sous vide des conserves, assure M. Gagnon. Ça faisait trois ans que nous avions l’œil sur un tel projet.»
L’organisme doit suivre les normes du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) dans le processus du sous vide ou de refroidissement des aliments. «Dans une soupe Habitant, on peut y ajouter des légumes», précise-t-il.
Si le chef Bob prépare des recettes, une technicienne en nutrition conçoit les étiquettes des conserves et s’occupe d’inscrire les portions et autres détails sur les boîtes. «On ne jette plus autant de cannes, insiste-t-il. En récupérant de la sorte, on aide l’environnement.»
Fraîcheur
Depuis quelques années, M. Gagnon ne s’en cache pas, le CBML offre des aliments plus sains, frais et diversifiés. S’il est vital que les banques alimentaires répondent aux besoins immédiats des personnes vivant dans l’insécurité alimentaire, elles peuvent aussi contribuer à la création d’un système alimentaire durable. «Notre rêve serait que personne n’ait plus à avoir besoin d’aide alimentaire d’urgence», indique-t-il.
20 000
La banque alimentaire régionale approvisionne chaque semaine 70 organismes communautaires de Laval. Plus de 20 000 personnes par mois reçoivent une aide alimentaire. «C’est sans parler des 3900 déjeuners que nous offrons dans les écoles. Ça nous garde occupés.»
Produits moches
Le Centre de bénévolat et moisson Laval travaille sur la récupération des produits prêts à consommer. D’ailleurs, des organismes viennent chercher leur bac de fruits et légumes pour transformer ces aliments. «Nous travaillons sur cette gamme de produits moches. Nous enlevons les parties défraîchies sur la salade, les fraises, etc. On est vraiment fier de ce programme», termine Jean Gagnon.