Pour le moment, elle trône au premier rang, devançant les 12 autres participantes, résidentes de France, la Suisse, le Venezuela et Haïti, entre autres. Depuis son inscription, la Lavalloise de 38 ans, native de Holguin, à Cuba, qui travaille notamment comme mannequin, a passé haut la main toutes les étapes menant vers la consécration.
En prenant part à ce concours, Estrella Rojas Toledano veut démontrer clairement que l’on peut être ronde et belle, dit-elle. «Quand je restais à Cuba, j’étais mince, à 135 livres, alors que ma mère, ma grand-mère et ma sœur étaient toutes rondes. En arrivant au Canada, en 2011, je me suis mise à manger des choses que je n’avais pas dans mon pays, comme des hamburgers et de la crème glacée, et mon mari m’invitait partout. Mon poids est monté à 185 livres.»
Dépression
L’image que lui renvoie le miroir la convainc de s’inscrire au gym, mais les livres en trop restent malgré les efforts.
«J’étais découragée, je voulais mourir et j’ai fait une dépression jusqu’au jour où j’ai décidé que c’était assez, que j’allais me concentrer sur moi et arrêter de penser à tout ça.»
Estrella Rojas Toledano a littéralement changé la perception qu’elle avait de son corps. «J’ai commencé à m’habiller sexy et à bien me peigner. Mon corps est imparfait, mais j’aime son imperfection, Je vais encore au gym, mais c’est pour être forte. Je travaille comme préposée aux bénéficiaires et il faut être en forme», explique celle qui est également technicienne en éducation spécialisée pour la Commission scolaire de Laval.
Ce qui déplaît profondément à la Lavalloise, c’est le dénigrement que doit parfois subir les personnes de taille plus. «Quand j’allais à l’école, on disait des insultes et des méchancetés sur ma mère parce qu’elle était ronde et ça me touchait beaucoup. Les adultes aussi peuvent être méprisants. Aujourd’hui, ma mère a 78 ans et elle est toujours ronde!» confie Estrella Rojas Toledano.
En terminant, elle a un message clair à lancer aux gens: «Aimez-vous tel que vous êtes.»
Pour le moment, elle trône au premier rang, devançant les 12 autres participantes, résidentes de France, la Suisse, le Venezuela et Haïti, entre autres. Depuis son inscription, la Lavalloise de 38 ans, native de Holguin, à Cuba, qui travaille notamment comme mannequin, a passé haut la main toutes les étapes menant vers la consécration.
En prenant part à ce concours, Estrella Rojas Toledano veut démontrer clairement que l’on peut être ronde et belle, dit-elle. «Quand je restais à Cuba, j’étais mince, à 135 livres, alors que ma mère, ma grand-mère et ma sœur étaient toutes rondes. En arrivant au Canada, en 2011, je me suis mise à manger des choses que je n’avais pas dans mon pays, comme des hamburgers et de la crème glacée, et mon mari m’invitait partout. Mon poids est monté à 185 livres.»
Dépression
L’image que lui renvoie le miroir la convainc de s’inscrire au gym, mais les livres en trop restent malgré les efforts.
«J’étais découragée, je voulais mourir et j’ai fait une dépression jusqu’au jour où j’ai décidé que c’était assez, que j’allais me concentrer sur moi et arrêter de penser à tout ça.»
Estrella Rojas Toledano a littéralement changé la perception qu’elle avait de son corps. «J’ai commencé à m’habiller sexy et à bien me peigner. Mon corps est imparfait, mais j’aime son imperfection, Je vais encore au gym, mais c’est pour être forte. Je travaille comme préposée aux bénéficiaires et il faut être en forme», explique celle qui est également technicienne en éducation spécialisée pour la Commission scolaire de Laval.
Ce qui déplaît profondément à la Lavalloise, c’est le dénigrement que doit parfois subir les personnes de taille plus. «Quand j’allais à l’école, on disait des insultes et des méchancetés sur ma mère parce qu’elle était ronde et ça me touchait beaucoup. Les adultes aussi peuvent être méprisants. Aujourd’hui, ma mère a 78 ans et elle est toujours ronde!» confie Estrella Rojas Toledano.
En terminant, elle a un message clair à lancer aux gens: «Aimez-vous tel que vous êtes.»