Ce don d’une valeur de 24 000 $, qui comprend le support administratif et des cartes d’achat pour applications, a été effectué le 19 avril par la fondatrice et coprésidente de la Fondation, Catherine Chevrette.
La quarantaine d’élèves de l’école primaire Sainte-Marguerite, dans Laval-des-Rapides, n’a pas caché sa joie et enthousiasme devant leurs nouvelles acquisitions.
«J’ai vu cette belle opportunité par Facebook, de confier Marie-Hélène Camirand, l’enseignante ayant contacté la Fondation. La tablette améliore le niveau de communication des enfants. Elle aplanit les difficultés motrices et autres pour un meilleur apprentissage du français, des mathématiques, de toutes les matières académiques. Un écran tactile reste plus facile pour eux que du papier et un crayon.»
«Ça sert à augmenter de beaucoup leur vocabulaire et c’est aussi un bon moyen de motivation, parce que le temps passé sur la tablette devient une récompense», de continuer sa collègue, Catherine Huard.
Besoins criants et pressants
Mère de Justine, une jeune autiste qui a aujourd’hui 14 ans, Catherine Chevrette a eu l’idée de cette fondation avec une amie également mère d’une enfant dans la même situation, soit Nancy Ménard-Cheng, la maman de Florence.
«En 2012, quand j’ai inscrit ma fille à l’école, j’ai vite réalisé qu’il y a beaucoup de support en répit et diagnostic, mais très peu d’outils en développement social et intellectuel, raconte Mme Chevrette. Nous avons réuni des professeurs en groupes d’échange et leur avons demandé ce dont ils avaient besoin. Ils ont tous répondu: une tablette!»
En ce mois de l’autisme, la Fondation Justine et Florence remet 100 tablettes électroniques dans les classes spécialisées du Québec où sont répartis pas moins de 8000 enfants.
En plus d’amasser de l’argent lors d’un défi à vélo, des dons permettent de répondre mieux aux besoins grandissants des écoles accueillant des enfants autistes.
Ce don d’une valeur de 24 000 $, qui comprend le support administratif et des cartes d’achat pour applications, a été effectué le 19 avril par la fondatrice et coprésidente de la Fondation, Catherine Chevrette.
La quarantaine d’élèves de l’école primaire Sainte-Marguerite, dans Laval-des-Rapides, n’a pas caché sa joie et enthousiasme devant leurs nouvelles acquisitions.
«J’ai vu cette belle opportunité par Facebook, de confier Marie-Hélène Camirand, l’enseignante ayant contacté la Fondation. La tablette améliore le niveau de communication des enfants. Elle aplanit les difficultés motrices et autres pour un meilleur apprentissage du français, des mathématiques, de toutes les matières académiques. Un écran tactile reste plus facile pour eux que du papier et un crayon.»
«Ça sert à augmenter de beaucoup leur vocabulaire et c’est aussi un bon moyen de motivation, parce que le temps passé sur la tablette devient une récompense», de continuer sa collègue, Catherine Huard.
Besoins criants et pressants
Mère de Justine, une jeune autiste qui a aujourd’hui 14 ans, Catherine Chevrette a eu l’idée de cette fondation avec une amie également mère d’une enfant dans la même situation, soit Nancy Ménard-Cheng, la maman de Florence.
«En 2012, quand j’ai inscrit ma fille à l’école, j’ai vite réalisé qu’il y a beaucoup de support en répit et diagnostic, mais très peu d’outils en développement social et intellectuel, raconte Mme Chevrette. Nous avons réuni des professeurs en groupes d’échange et leur avons demandé ce dont ils avaient besoin. Ils ont tous répondu: une tablette!»
En ce mois de l’autisme, la Fondation Justine et Florence remet 100 tablettes électroniques dans les classes spécialisées du Québec où sont répartis pas moins de 8000 enfants.
En plus d’amasser de l’argent lors d’un défi à vélo, des dons permettent de répondre mieux aux besoins grandissants des écoles accueillant des enfants autistes.