Une vingtaine d’autopatrouilles et deux postes de commandement étaient placés au nord du boulevard Saint-Martin, gyrophares allumés. Aucune arrestation n’a été effectuée parmi les 1730 véhicules interceptés entre 17h15 et 20h15.
«C’est principalement une sortie de visibilité que l’on a effectuée pour lancer cette opération qui va se dérouler jusqu’au 3 janvier, de préciser Geneviève Major, porte-parole du Service de police de Laval. Les prochains barrages vont se faire à des heures plus appropriées.»
«À l’approche du temps des fêtes, on cible principalement la conduite avec les capacités affaiblies par l’alcool ou la drogue, de continuer Jean-François Rousselle, l’officier responsable de la sécurité routière à la Police de Laval. Nos agents sont notamment formés avec différentes épreuves de coordination de mouvement pour détecter l’intoxication d’un conducteur par le cannabis.»
Le territoire lavallois devrait connaître entre 5 et 10 contrôles routiers ciblés pendant le prochain mois. Au Québec, 1500 arrestations avaient eu lieu durant l’opération VACCIN l’an dernier. Notons aussi que depuis janvier, la Sûreté du Québec a procédé à 1000 arrestations pour la conduite avec capacités affaiblies par la drogue.
«Nous voulons que les gens planifient déjà un plan B avant de se rendre à une fête, d’ajouter Jean-François Rousselle. Quand la personne a bu ou fumé, elle doit avoir recours à un transport alternatif, que ce soit un ami, quelqu’un de la famille, Nez rouge ou un taxi.»
Nombreux partenaires
Rappelons que les policiers utilisent différentes techniques et outils pour détecter les conducteurs fautifs. Durant l’opération, les policiers distribueront des autocollants électrostatiques que les conducteurs pourront apposer dans les vitres de leur véhicule. Le visuel de la campagne précise que de prendre le volant avec la capacité de conduite affaiblie par l’alcool ou la drogue ou une combinaison des deux est un acte criminel aux conséquences graves, autant pour le conducteur que pour les victimes potentielles.
«Globalement, depuis 40 ans, le bilan routier s’améliore constamment, de confier Patrick Després, lieutenant à la direction de la sécurité routière de la Sûreté du Québec (SQ). Pourtant, la conduite avec facultés affaiblies demeure la principale cause de collision mortelle. De 2011 à 2015, nous avons eu 140 décès et 2100 accidents avec blessé grave.»
«De notre côté, nous participons à l’opération pour intervenir auprès des véhicules lourds, autobus et taxis, de souligner Marie-Josée Michaud, porte-parole de Contrôle routier Québec. Nous sommes abilités à détecter l’alcool et la drogue partout sur le réseau routier. Nous devons simplement remettre ensuite la personne à la police.»
Une vingtaine d’autopatrouilles et deux postes de commandement étaient placés au nord du boulevard Saint-Martin, gyrophares allumés. Aucune arrestation n’a été effectuée parmi les 1730 véhicules interceptés entre 17h15 et 20h15.
«C’est principalement une sortie de visibilité que l’on a effectuée pour lancer cette opération qui va se dérouler jusqu’au 3 janvier, de préciser Geneviève Major, porte-parole du Service de police de Laval. Les prochains barrages vont se faire à des heures plus appropriées.»
«À l’approche du temps des fêtes, on cible principalement la conduite avec les capacités affaiblies par l’alcool ou la drogue, de continuer Jean-François Rousselle, l’officier responsable de la sécurité routière à la Police de Laval. Nos agents sont notamment formés avec différentes épreuves de coordination de mouvement pour détecter l’intoxication d’un conducteur par le cannabis.»
Le territoire lavallois devrait connaître entre 5 et 10 contrôles routiers ciblés pendant le prochain mois. Au Québec, 1500 arrestations avaient eu lieu durant l’opération VACCIN l’an dernier. Notons aussi que depuis janvier, la Sûreté du Québec a procédé à 1000 arrestations pour la conduite avec capacités affaiblies par la drogue.
«Nous voulons que les gens planifient déjà un plan B avant de se rendre à une fête, d’ajouter Jean-François Rousselle. Quand la personne a bu ou fumé, elle doit avoir recours à un transport alternatif, que ce soit un ami, quelqu’un de la famille, Nez rouge ou un taxi.»
Nombreux partenaires
Rappelons que les policiers utilisent différentes techniques et outils pour détecter les conducteurs fautifs. Durant l’opération, les policiers distribueront des autocollants électrostatiques que les conducteurs pourront apposer dans les vitres de leur véhicule. Le visuel de la campagne précise que de prendre le volant avec la capacité de conduite affaiblie par l’alcool ou la drogue ou une combinaison des deux est un acte criminel aux conséquences graves, autant pour le conducteur que pour les victimes potentielles.
«Globalement, depuis 40 ans, le bilan routier s’améliore constamment, de confier Patrick Després, lieutenant à la direction de la sécurité routière de la Sûreté du Québec (SQ). Pourtant, la conduite avec facultés affaiblies demeure la principale cause de collision mortelle. De 2011 à 2015, nous avons eu 140 décès et 2100 accidents avec blessé grave.»
«De notre côté, nous participons à l’opération pour intervenir auprès des véhicules lourds, autobus et taxis, de souligner Marie-Josée Michaud, porte-parole de Contrôle routier Québec. Nous sommes abilités à détecter l’alcool et la drogue partout sur le réseau routier. Nous devons simplement remettre ensuite la personne à la police.»