Deux autres rendez-vous seront nécessaires afin de fignoler le projet qui, pour le moment, semble prendre la forme d’une résidence pour aînés et maisons de ville, après l’analyse des points forts et faibles de trois scénarios lors de la deuxième soirée, en mars.
«Nous sommes partis du principe de la page blanche, explique Stéphane Boyer, conseiller de Duvernay-Pont-Viau. Les citoyens veulent une certaine mixité commerciale (petits marchés, cafés) et résidentielle et l’idée d’avoir une résidence pour personnes âgées est très populaire. La population est vieillissante dans ce secteur et lorsque les gens vendront leur maison, ils aimeraient bien rester dans le quartier.»
Selon le promoteur, le projet de résidence devrait comporter un minimum de 300 unités pour être viable, soit 4 étages, avec un rez-de-chaussée à caractère commercial. «Les résidents ne veulent pas de bâtiment trop haut. On doit aussi respecter le cadre bâti du secteur», a mentionné l’élu municipal.
Les personnes consultées ont été claires sur un autre point: on ne veut pas que le site soit trop dense. «Nous avons laissé du blanc sur les sujets qui ne faisaient pas consensus et demandé au promoteur de retourner sur sa planche à dessin [en vue de la prochaine rencontre au mois de juin]», a souligné Stéphane Boyer, ajoutant que le nombre de maisons de ville proposé par le bras immobilier de Loblaws était de 140.
Zonage
Présentement, le terrain de l’ancien supermarché jouit d’un zonage commercial, avec limitation de bâtiments à deux étages. Pour permettre au projet de voir le jour, on devra prévoir un changement afin de permettre la mixité commerciale et résidentielle.
«La Ville est d’accord pour redévelopper, mais ça doit se faire avec les citoyens. Si on n’obtient pas la majorité, nous n’irons pas de l’avant avec le changement de zonage et le propriétaire pourra faire ce qu’il veut [dans le respect du zonage actuel]», a révélé Stéphane Boyer, indiquant que le promoteur avait très bien accueilli l’idée de la Ville de travailler de concert avec les citoyens.
Rappelons que ce Loblaws a été l’un des 52 supermarchés que la chaîne canadienne a fermé au début de l’année 2016 au Québec. Sur le territoire lavallois, cette fermeture s’était soldée par la perte de 84 emplois.
Deux autres rendez-vous seront nécessaires afin de fignoler le projet qui, pour le moment, semble prendre la forme d’une résidence pour aînés et maisons de ville, après l’analyse des points forts et faibles de trois scénarios lors de la deuxième soirée, en mars.
«Nous sommes partis du principe de la page blanche, explique Stéphane Boyer, conseiller de Duvernay-Pont-Viau. Les citoyens veulent une certaine mixité commerciale (petits marchés, cafés) et résidentielle et l’idée d’avoir une résidence pour personnes âgées est très populaire. La population est vieillissante dans ce secteur et lorsque les gens vendront leur maison, ils aimeraient bien rester dans le quartier.»
Selon le promoteur, le projet de résidence devrait comporter un minimum de 300 unités pour être viable, soit 4 étages, avec un rez-de-chaussée à caractère commercial. «Les résidents ne veulent pas de bâtiment trop haut. On doit aussi respecter le cadre bâti du secteur», a mentionné l’élu municipal.
Les personnes consultées ont été claires sur un autre point: on ne veut pas que le site soit trop dense. «Nous avons laissé du blanc sur les sujets qui ne faisaient pas consensus et demandé au promoteur de retourner sur sa planche à dessin [en vue de la prochaine rencontre au mois de juin]», a souligné Stéphane Boyer, ajoutant que le nombre de maisons de ville proposé par le bras immobilier de Loblaws était de 140.
Zonage
Présentement, le terrain de l’ancien supermarché jouit d’un zonage commercial, avec limitation de bâtiments à deux étages. Pour permettre au projet de voir le jour, on devra prévoir un changement afin de permettre la mixité commerciale et résidentielle.
«La Ville est d’accord pour redévelopper, mais ça doit se faire avec les citoyens. Si on n’obtient pas la majorité, nous n’irons pas de l’avant avec le changement de zonage et le propriétaire pourra faire ce qu’il veut [dans le respect du zonage actuel]», a révélé Stéphane Boyer, indiquant que le promoteur avait très bien accueilli l’idée de la Ville de travailler de concert avec les citoyens.
Rappelons que ce Loblaws a été l’un des 52 supermarchés que la chaîne canadienne a fermé au début de l’année 2016 au Québec. Sur le territoire lavallois, cette fermeture s’était soldée par la perte de 84 emplois.