Déposée à la séance du dernier conseil municipal, la proposition de Claude Larochelle, conseiller de Fabreville élu sous la bannière de Parti Laval, est à l’effet d’établir «un plan de développement des fontaines d’eau et d’en prévoir la présence dans l’aménagement de nouveaux espaces publics, en particulier aux abords des parcs, terrains de jeu et plateaux sportifs, près des réseaux cyclables et piétonniers; et de rendre publique une cartographie des endroits où les citoyens peuvent se désaltérer gratuitement».
Avant d’en faire la lecture lors de la séance régulière du 3 avril, M. Larochelle avait précisé que cet avis de proposition se voulait «complémentaire à la proposition d’interdire la vente de boissons sucrées à l’intérieur de nos édifices municipaux», laquelle devait être débattue au point suivant à l’ordre du jour.
Finalement, le maire Marc Demers et les élus de son parti avaient jugé plus opportun de reporter le débat à 2019 et d’attendre les recommandations d’un «comité d’experts» quant aux moyens à privilégier pour réduire la consommation d’aliments sucrés sur tout le territoire.
Coalition Poids
Dans un communiqué publié le lendemain, où la Coalition Poids signifiait sa déception quant à «la décision du conseil municipal de ne pas entériner la résolution de l’opposition officielle», l’organisme encourageait la Ville à multiplier les fontaines d’eau dans ses établissements municipaux et places publiques.
«L’eau lavalloise est réputée pour sa haute qualité et a reçu plusieurs récompenses, rappelait alors sa directrice générale, Corinne Voyer. Que ce soit pour des préoccupations de santé, de qualité de vie, de protection de l’environnement, de réduction des déchets ou de résilience face aux canicules et changements climatiques, toutes les raisons sont bonnes pour maximiser l’accès à l’eau potable gratuite pour les citoyens.»
Parrainée par l’Association pour la santé publique du Québec depuis 2008, la Coalition québécoise sur la problématique du poids (Coalition Poids) réunit plus de 430 partenaires – dont la Ville de Laval – qui visent l’adoption de politiques publiques à l’égard des problèmes reliés au poids.
Jointe par téléphone le 26 avril, Aglaia Revelakis, conseillère de Chomedey, représentante du parti Action Laval et seule autre élue de l’opposition au conseil municipal, affirmait qu’elle allait appuyer la proposition de Claude Larochelle, mardi prochain, question de permettre d’en débattre.
À lire aussi: Boissons sucrées: il n’y aurait pas de comité d’experts
Déposée à la séance du dernier conseil municipal, la proposition de Claude Larochelle, conseiller de Fabreville élu sous la bannière de Parti Laval, est à l’effet d’établir «un plan de développement des fontaines d’eau et d’en prévoir la présence dans l’aménagement de nouveaux espaces publics, en particulier aux abords des parcs, terrains de jeu et plateaux sportifs, près des réseaux cyclables et piétonniers; et de rendre publique une cartographie des endroits où les citoyens peuvent se désaltérer gratuitement».
Avant d’en faire la lecture lors de la séance régulière du 3 avril, M. Larochelle avait précisé que cet avis de proposition se voulait «complémentaire à la proposition d’interdire la vente de boissons sucrées à l’intérieur de nos édifices municipaux», laquelle devait être débattue au point suivant à l’ordre du jour.
Finalement, le maire Marc Demers et les élus de son parti avaient jugé plus opportun de reporter le débat à 2019 et d’attendre les recommandations d’un «comité d’experts» quant aux moyens à privilégier pour réduire la consommation d’aliments sucrés sur tout le territoire.
Coalition Poids
Dans un communiqué publié le lendemain, où la Coalition Poids signifiait sa déception quant à «la décision du conseil municipal de ne pas entériner la résolution de l’opposition officielle», l’organisme encourageait la Ville à multiplier les fontaines d’eau dans ses établissements municipaux et places publiques.
«L’eau lavalloise est réputée pour sa haute qualité et a reçu plusieurs récompenses, rappelait alors sa directrice générale, Corinne Voyer. Que ce soit pour des préoccupations de santé, de qualité de vie, de protection de l’environnement, de réduction des déchets ou de résilience face aux canicules et changements climatiques, toutes les raisons sont bonnes pour maximiser l’accès à l’eau potable gratuite pour les citoyens.»
Parrainée par l’Association pour la santé publique du Québec depuis 2008, la Coalition québécoise sur la problématique du poids (Coalition Poids) réunit plus de 430 partenaires – dont la Ville de Laval – qui visent l’adoption de politiques publiques à l’égard des problèmes reliés au poids.
Jointe par téléphone le 26 avril, Aglaia Revelakis, conseillère de Chomedey, représentante du parti Action Laval et seule autre élue de l’opposition au conseil municipal, affirmait qu’elle allait appuyer la proposition de Claude Larochelle, mardi prochain, question de permettre d’en débattre.
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