Le maire Marc Demers l’a démis de ses fonctions de vice-président de cette instance décisionnelle pour «bris de confiance» en raison de la fronde orchestrée la veille.
La nouvelle lui a été communiquée un peu avant la tenue de la séance hebdomadaire du CE, mercredi matin.
«Le poste de vice-président du comité exécutif exige un haut niveau de confiance», a indiqué au Courrier Laval la directrice des communications au cabinet du maire, Valérie Sauvé. Le maire dispose de huit jours pour nommer son successeur.
Fondateur du parti et conseiller municipal du district Saint-Bruno, M. De Cotis demeure pour l’instant membre du caucus formé des 20 élus du Mouvement lavallois.
Bombe
Rappelons que quelques heures plus tôt, M. De Cotis avait semé la consternation au conseil municipal en déposant un avis de nomination qui allait chambouler la composition du conseil d’administration du comité de vérification de la Ville.
Sa proposition, qui a eu l’effet d’une véritable bombe, avait rallié la majorité au conseil, dont huit autres élus du Mouvement lavallois qui tournaient systématiquement le dos à leur chef, laissant du coup le maire Demers en position minoritaire.
La présente situation n’est pas sans rappeler la tentative de putsch avortée de juin 1984 contre l’ex-maire feu Claude U. Lefebvre. Cet événement, qui remonte à 34 ans, avait plongé Laval dans une crise politique sans précédent.
Au moment de mettre en ligne, M. De Cotis n’avait pas retourné notre appel.
Le maire Marc Demers l’a démis de ses fonctions de vice-président de cette instance décisionnelle pour «bris de confiance» en raison de la fronde orchestrée la veille.
La nouvelle lui a été communiquée un peu avant la tenue de la séance hebdomadaire du CE, mercredi matin.
«Le poste de vice-président du comité exécutif exige un haut niveau de confiance», a indiqué au Courrier Laval la directrice des communications au cabinet du maire, Valérie Sauvé. Le maire dispose de huit jours pour nommer son successeur.
Fondateur du parti et conseiller municipal du district Saint-Bruno, M. De Cotis demeure pour l’instant membre du caucus formé des 20 élus du Mouvement lavallois.
Bombe
Rappelons que quelques heures plus tôt, M. De Cotis avait semé la consternation au conseil municipal en déposant un avis de nomination qui allait chambouler la composition du conseil d’administration du comité de vérification de la Ville.
Sa proposition, qui a eu l’effet d’une véritable bombe, avait rallié la majorité au conseil, dont huit autres élus du Mouvement lavallois qui tournaient systématiquement le dos à leur chef, laissant du coup le maire Demers en position minoritaire.
La présente situation n’est pas sans rappeler la tentative de putsch avortée de juin 1984 contre l’ex-maire feu Claude U. Lefebvre. Cet événement, qui remonte à 34 ans, avait plongé Laval dans une crise politique sans précédent.
Au moment de mettre en ligne, M. De Cotis n’avait pas retourné notre appel.