Malgré la présence policière pour faciliter la circulation à l’angle du boulevard Le Corbusier et de la rue Claude-Gagné, il a fallu attendre une bonne trentaine de minutes pour franchir les quelque 500 derniers mètres qui menaient au stationnement sous-terrain.
Si bien que certains spectateurs ont rejoint leur siège au moment où l’on allumait les lumières pour l’entracte.
Le Service de police de Laval y avait affecté des agents de la circulation après avoir constaté, la veille, tous ces «p’tits bout’choux traverser les intersections» accompagnés de leurs parents à la sortie de la Place Bell.
Alarme de monoxyde
Pour la première fois depuis l’ouverture de l’amphithéâtre, sans doute en raison du froid intense qui sévissait, il appert que le stationnement intérieur et ses 700 cases avaient affiché complet lors de la représentation du jeudi 4 janvier, 15h.
À la sortie, les gestionnaires de l’aire de stationnement ont observé un taux de monoxyde de carbone anormalement élevé, indique la porte-parole de la police Evelyne Boudreau, dont le service a été appelé en renfort au Service de sécurité incendie pour aider à la circulation. «Personne n’a finalement été incommodé», rassure-t-elle.
Malgré la présence policière pour faciliter la circulation à l’angle du boulevard Le Corbusier et de la rue Claude-Gagné, il a fallu attendre une bonne trentaine de minutes pour franchir les quelque 500 derniers mètres qui menaient au stationnement sous-terrain.
Si bien que certains spectateurs ont rejoint leur siège au moment où l’on allumait les lumières pour l’entracte.
Le Service de police de Laval y avait affecté des agents de la circulation après avoir constaté, la veille, tous ces «p’tits bout’choux traverser les intersections» accompagnés de leurs parents à la sortie de la Place Bell.
Alarme de monoxyde
Pour la première fois depuis l’ouverture de l’amphithéâtre, sans doute en raison du froid intense qui sévissait, il appert que le stationnement intérieur et ses 700 cases avaient affiché complet lors de la représentation du jeudi 4 janvier, 15h.
À la sortie, les gestionnaires de l’aire de stationnement ont observé un taux de monoxyde de carbone anormalement élevé, indique la porte-parole de la police Evelyne Boudreau, dont le service a été appelé en renfort au Service de sécurité incendie pour aider à la circulation. «Personne n’a finalement été incommodé», rassure-t-elle.