«À travers beaucoup de recherche dans les anciens textes afin de trouver des éléments qui se ressemblent dans toutes sortes de religions, j’ai notamment trouvé l’existence de huit cieux, raconte Ghislaine Burque. En retournant en arrière dans le temps pour changer une décision malheureuse du passé, mes trois personnages principaux vont être confrontés à la porte verrouillée du quatrième ciel.»
Dans La Porte de l’antichambre, la fille d’un fermier de Saint-François, au 19e siècle, devenue patronne d’une riche boutique à New York, un capitaine de navire du 17e siècle, et une reine de l’Antiquité tenteront de corriger leur destin.
«Deux anges seront mandatés pour les accompagner dans leur aventure, sans compter la présence d’un démon, un ange déchu, pendant que quelque part sommeille L’Éternel souvent surnommé le patron», précise Ghislaine Burque qui signe ici sa première œuvre en cinq actes.
Oeuvre grandiose
Plus de 25 artistes interprétant plus de 70 personnages entraîneront le public en 4 lieux différents, chantant, dansant et jouant dans cette production à grand déploiement.
«Même si la Ville de Laval ne nous accorde plus de local pour la conception de nos décors, on a eu recours au garage d’un membre pour que l’artiste-peintre Maxime Lacourse puisse concevoir des décors aussi spectaculaires que les costumes de Christiane Frenette et Lynn Boucher, ajoute Mme Burque. Visuellement et musicalement, les gens vont être servis!»
Artiste ayant participé à plusieurs productions de Fantasia et nouvelle bachelière en enseignement du théâtre, Émilie Julien signe la mise en scène.
«Il y a du rythme, beaucoup d’éléments de surprise et de clins d’œil liturgiques, c’est une vraie parodie entre enfer, purgatoire et paradis», de conclure Ghislaine Burque.
La Troupe Fantasia présente la comédie musicale La Porte de l’antichambre, les 15 et 16 juin, au Théâtre des Muses de la Maison des arts de Laval (1395, boulevard de la Concorde Ouest). Information et billets: 450 628-2285.
«À travers beaucoup de recherche dans les anciens textes afin de trouver des éléments qui se ressemblent dans toutes sortes de religions, j’ai notamment trouvé l’existence de huit cieux, raconte Ghislaine Burque. En retournant en arrière dans le temps pour changer une décision malheureuse du passé, mes trois personnages principaux vont être confrontés à la porte verrouillée du quatrième ciel.»
Dans La Porte de l’antichambre, la fille d’un fermier de Saint-François, au 19e siècle, devenue patronne d’une riche boutique à New York, un capitaine de navire du 17e siècle, et une reine de l’Antiquité tenteront de corriger leur destin.
«Deux anges seront mandatés pour les accompagner dans leur aventure, sans compter la présence d’un démon, un ange déchu, pendant que quelque part sommeille L’Éternel souvent surnommé le patron», précise Ghislaine Burque qui signe ici sa première œuvre en cinq actes.
Oeuvre grandiose
Plus de 25 artistes interprétant plus de 70 personnages entraîneront le public en 4 lieux différents, chantant, dansant et jouant dans cette production à grand déploiement.
«Même si la Ville de Laval ne nous accorde plus de local pour la conception de nos décors, on a eu recours au garage d’un membre pour que l’artiste-peintre Maxime Lacourse puisse concevoir des décors aussi spectaculaires que les costumes de Christiane Frenette et Lynn Boucher, ajoute Mme Burque. Visuellement et musicalement, les gens vont être servis!»
Artiste ayant participé à plusieurs productions de Fantasia et nouvelle bachelière en enseignement du théâtre, Émilie Julien signe la mise en scène.
«Il y a du rythme, beaucoup d’éléments de surprise et de clins d’œil liturgiques, c’est une vraie parodie entre enfer, purgatoire et paradis», de conclure Ghislaine Burque.
La Troupe Fantasia présente la comédie musicale La Porte de l’antichambre, les 15 et 16 juin, au Théâtre des Muses de la Maison des arts de Laval (1395, boulevard de la Concorde Ouest). Information et billets: 450 628-2285.