Depuis la dernière séance du conseil municipal, ce projet mené par Construction Jadco est devenu la tour de la discorde, suscitant une véritable levée de boucliers auprès des copropriétaires du Maritime, occupant eux-mêmes une tour de condominiums de 18 étages tout juste à l’ouest du chantier.
«Un tel développement sauvage nous ramènerait 30 ans en arrière, affirme par voie de communiqué, le 18 juillet, Me Robert Fauteux, candidat d’Avenir Laval dans le district Souvenir-Labelle où est à s’élever le gratte-ciel. Prévenons donc ce gâchis!»
Expropriation déguisée
Pour le parti nouvellement fondé par Sonia Baudelot, candidate à la mairie, «une tour aussi élevée constitue en réalité une forme d’expropriation déguisée des propriétés adjacentes».
Précisons ici que la tour plongera dans l’ombre les maisons unifamiliales et duplex avoisinants, ce qui entraînera, selon Avenir Laval, une dépréciation des maisons dans le voisinage.
Me Fauteux exige du maire Demers qu’il «soit davantage à l’écoute des citoyens de sa ville qu’à l’écoute des promoteurs immobiliers».
Quant au principal intéressé, il fait valoir que le projet était conforme au zonage au moment où le permis a été délivré, en décembre dernier, et que la Ville se serait exposée à des poursuites dans le cas contraire. Depuis avril, toutefois, un règlement de contrôle intérimaire (RCI) limite à 15 étages la hauteur des bâtiments dans ce secteur.
Lors d’une rencontre citoyenne tenue à l’hôtel de ville, le 17 juillet, Marc Demers a d’ailleurs reconnu qu’il aurait préféré que «ça ne se construise pas».
Me Fauteux y voit là une «démission inadmissible de M. Demers face à ses responsabilités».
Depuis la dernière séance du conseil municipal, ce projet mené par Construction Jadco est devenu la tour de la discorde, suscitant une véritable levée de boucliers auprès des copropriétaires du Maritime, occupant eux-mêmes une tour de condominiums de 18 étages tout juste à l’ouest du chantier.
Une résidence de personnes âgées haute de 26 étages est à s’élèver au quadrant sud-ouest des boulevards Lévesque et Daniel-Johnson, à Chomedey. ©Photo – Photo TC Media – Mario Beauregard
«Un tel développement sauvage nous ramènerait 30 ans en arrière, affirme par voie de communiqué, le 18 juillet, Me Robert Fauteux, candidat d’Avenir Laval dans le district Souvenir-Labelle où est à s’élever le gratte-ciel. Prévenons donc ce gâchis!»
Expropriation déguisée
Pour le parti nouvellement fondé par Sonia Baudelot, candidate à la mairie, «une tour aussi élevée constitue en réalité une forme d’expropriation déguisée des propriétés adjacentes».
Précisons ici que la tour plongera dans l’ombre les maisons unifamiliales et duplex avoisinants, ce qui entraînera, selon Avenir Laval, une dépréciation des maisons dans le voisinage.
Me Fauteux exige du maire Demers qu’il «soit davantage à l’écoute des citoyens de sa ville qu’à l’écoute des promoteurs immobiliers».
Quant au principal intéressé, il fait valoir que le projet était conforme au zonage au moment où le permis a été délivré, en décembre dernier, et que la Ville se serait exposée à des poursuites dans le cas contraire. Depuis avril, toutefois, un règlement de contrôle intérimaire (RCI) limite à 15 étages la hauteur des bâtiments dans ce secteur.
Lors d’une rencontre citoyenne tenue à l’hôtel de ville, le 17 juillet, Marc Demers a d’ailleurs reconnu qu’il aurait préféré que «ça ne se construise pas».
Me Fauteux y voit là une «démission inadmissible de M. Demers face à ses responsabilités».