La rencontre n’a duré que quelques minutes, a précisé M. Lecompte à qui on a remis un avis de comparution. La cause sera entendue en décembre prochain au palais de justice de Laval.
«Le processus a suivi son cours; une procédure normale. Je ne suis pas traumatisé», a-t-il expliqué le 13 septembre lors d’un point de presse de l’Alliance des conseillers autonomes dont il est le chef.
Les faits reprochés ont été commis les 7 et 8 septembre dernier, alors qu’il a détruit à coups de masse cinq pancartes électorales 5′ x 10′ du parti Action Laval sous prétexte que celles-ci étaient illégales.
«Ce n’était pas joli», convient celui qui y voyait une urgence d’agir, dénonçant le fait que son adversaire politique puisse ainsi profiter d’un avantage indu sur les partis respectant la règlementation municipale. Celle-ci interdit l’affichage de nature politique en dehors de la période électorale qui débute le 22 septembre.
«Est-ce que ce serait à refaire? Non!» poursuit Alain Lecompte qui aura à s’expliquer devant un juge.
Il en veut pour preuve la «plainte officielle» qu’il dit avoir déposée auprès de la greffière de la Ville, Chantale Sainte-Marie, au regard de «quatre pancartes gigantesques» toujours en place, termine-t-il.
La rencontre n’a duré que quelques minutes, a précisé M. Lecompte à qui on a remis un avis de comparution. La cause sera entendue en décembre prochain au palais de justice de Laval.
«Le processus a suivi son cours; une procédure normale. Je ne suis pas traumatisé», a-t-il expliqué le 13 septembre lors d’un point de presse de l’Alliance des conseillers autonomes dont il est le chef.
Les faits reprochés ont été commis les 7 et 8 septembre dernier, alors qu’il a détruit à coups de masse cinq pancartes électorales 5′ x 10′ du parti Action Laval sous prétexte que celles-ci étaient illégales.
«Ce n’était pas joli», convient celui qui y voyait une urgence d’agir, dénonçant le fait que son adversaire politique puisse ainsi profiter d’un avantage indu sur les partis respectant la règlementation municipale. Celle-ci interdit l’affichage de nature politique en dehors de la période électorale qui débute le 22 septembre.
«Est-ce que ce serait à refaire? Non!» poursuit Alain Lecompte qui aura à s’expliquer devant un juge.
Il en veut pour preuve la «plainte officielle» qu’il dit avoir déposée auprès de la greffière de la Ville, Chantale Sainte-Marie, au regard de «quatre pancartes gigantesques» toujours en place, termine-t-il.