L’élue de l’opposition officielle Action Laval – Équipe Gobé accédait ainsi au souhait d’une citoyenne et résidente de la tour voisine du Maritime, Vivianne Monette.
«Nous avons tout à gagner en mettant en place une commission et montrer une entière transparence tel que nous l’a demandé cette citoyenne», d’affirmer d’entrée de jeu le conseiller de Fabreville et chef du Parti Laval Michel Trottier.
La proposition a finalement été rejetée par le conseil municipal. «Je vais travailler très fort pour que ce comité soit créé le mois prochain quand je vais déposer la proposition à nouveau, a déclaré Aglaia Revelakis dans un communiqué de son parti. C’est dommage de devoir attendre et peut-être que ce sera trop tard, mais les citoyens méritent que je me batte pour qu’ils obtiennent toute la vérité.»
«Le projet (Équinoxe) a été accepté par la Ville alors que tous savaient pertinemment les intentions de limiter la hauteur des bâtiments», soutient Action Laval pour qui le maire Demers a déclaré forfait dans ce dossier.
«Il aurait été possible pour le Comité exécutif de bloquer l’octroi du permis à ce moment, en évoquant les intentions du législateur, continue Mme Revelakis. M. Demers n’a pourtant pas hésité à stopper le projet du Commodore, alors qu’il était déjà accepté par le Conseil.»
Notons que la Ville de Laval se retrouve toujours au cœur d’une poursuite intentée par le promoteur du Commodore.
«De deux choses l’une, ou les gens d’Action Laval ne comprennent pas le dossier ou ils tentent de tromper les citoyens, a rétorqué pour sa part François Brochu, porte-parole du cabinet du maire Demers. Le promoteur du projet Équinoxe a déposé sa demande de permis en décembre 2016, alors que son dossier répondait à tous les règlements municipaux. Le cas du Commodore est totalement différent et nous sommes confiants que le juge se rendra à nos arguments qui reposent sur de solides bases juridiques.»
«Juridiquement, on ne peut présumer des intentions du législateur tant qu’une loi ou un règlement n’a pas été adopté, de renchérir Michel Trottier. Avec le Commodore, j’ose croire qu’on a détecté des irrégularités nous montrant qu’on a une cause. Dans le dossier d’Équinoxe, la Ville ne peut se permettre d’aller en cour pour ensuite perdre des millions de dollars, le promoteur étant dans son droit.»
Soirée d’information
Par ailleurs, M. Brochu a rappelé que la Ville a tenu une soirée d’information au sujet du projet Équinoxe, «une séance à laquelle Mme Revelakis n’a pas cru bon d’assister. Tous les détails du dossier ont été exposés et tout est clair.»
Lors de cette rencontre tenue le 17 juillet, la centaine de citoyens présents remettaient fortement en question la vocation annoncée de tour d’habitation pour personnes âgées du projet Équinoxe.
Quelques-uns d’entre eux avaient réussi à rencontrer des employés et responsables de Jadco qui tenaient tous le même discours: aucun service particulier n’est prévu pour des personnes à mobilité réduite et il ne s’agit pas là d’une résidence pour personnes âgées.
«On n’est pas à l’abri qu’ils nous content des menteries», répondait alors Jean-François Boivin, chef de Division information, permis et inspection à l’urbanisme.
«En ce moment, on n’a pas d’assise juridique, faisait aussi savoir le maire Demers. S’ils ne se servent pas de l’endroit pour la vocation prévue, on pourra intervenir. On connaît l’orientation de nos citoyens qui est aussi celle qu’on veut prendre. Dès qu’on a pu agir, on a pris une mesure spéciale après avoir fait le choix de consulter les gens. On suit ce projet de très près après l’avoir visité et examiné sous tous les angles.»
L’élue de l’opposition officielle Action Laval – Équipe Gobé accédait ainsi au souhait d’une citoyenne et résidente de la tour voisine du Maritime, Vivianne Monette.
«Nous avons tout à gagner en mettant en place une commission et montrer une entière transparence tel que nous l’a demandé cette citoyenne», d’affirmer d’entrée de jeu le conseiller de Fabreville et chef du Parti Laval Michel Trottier.
La proposition a finalement été rejetée par le conseil municipal. «Je vais travailler très fort pour que ce comité soit créé le mois prochain quand je vais déposer la proposition à nouveau, a déclaré Aglaia Revelakis dans un communiqué de son parti. C’est dommage de devoir attendre et peut-être que ce sera trop tard, mais les citoyens méritent que je me batte pour qu’ils obtiennent toute la vérité.»
«Le projet (Équinoxe) a été accepté par la Ville alors que tous savaient pertinemment les intentions de limiter la hauteur des bâtiments», soutient Action Laval pour qui le maire Demers a déclaré forfait dans ce dossier.
«Il aurait été possible pour le Comité exécutif de bloquer l’octroi du permis à ce moment, en évoquant les intentions du législateur, continue Mme Revelakis. M. Demers n’a pourtant pas hésité à stopper le projet du Commodore, alors qu’il était déjà accepté par le Conseil.»
Notons que la Ville de Laval se retrouve toujours au cœur d’une poursuite intentée par le promoteur du Commodore.
«De deux choses l’une, ou les gens d’Action Laval ne comprennent pas le dossier ou ils tentent de tromper les citoyens, a rétorqué pour sa part François Brochu, porte-parole du cabinet du maire Demers. Le promoteur du projet Équinoxe a déposé sa demande de permis en décembre 2016, alors que son dossier répondait à tous les règlements municipaux. Le cas du Commodore est totalement différent et nous sommes confiants que le juge se rendra à nos arguments qui reposent sur de solides bases juridiques.»
«Juridiquement, on ne peut présumer des intentions du législateur tant qu’une loi ou un règlement n’a pas été adopté, de renchérir Michel Trottier. Avec le Commodore, j’ose croire qu’on a détecté des irrégularités nous montrant qu’on a une cause. Dans le dossier d’Équinoxe, la Ville ne peut se permettre d’aller en cour pour ensuite perdre des millions de dollars, le promoteur étant dans son droit.»
Soirée d’information
Par ailleurs, M. Brochu a rappelé que la Ville a tenu une soirée d’information au sujet du projet Équinoxe, «une séance à laquelle Mme Revelakis n’a pas cru bon d’assister. Tous les détails du dossier ont été exposés et tout est clair.»
Lors de cette rencontre tenue le 17 juillet, la centaine de citoyens présents remettaient fortement en question la vocation annoncée de tour d’habitation pour personnes âgées du projet Équinoxe.
Quelques-uns d’entre eux avaient réussi à rencontrer des employés et responsables de Jadco qui tenaient tous le même discours: aucun service particulier n’est prévu pour des personnes à mobilité réduite et il ne s’agit pas là d’une résidence pour personnes âgées.
«On n’est pas à l’abri qu’ils nous content des menteries», répondait alors Jean-François Boivin, chef de Division information, permis et inspection à l’urbanisme.
«En ce moment, on n’a pas d’assise juridique, faisait aussi savoir le maire Demers. S’ils ne se servent pas de l’endroit pour la vocation prévue, on pourra intervenir. On connaît l’orientation de nos citoyens qui est aussi celle qu’on veut prendre. Dès qu’on a pu agir, on a pris une mesure spéciale après avoir fait le choix de consulter les gens. On suit ce projet de très près après l’avoir visité et examiné sous tous les angles.»