Cette année, une dizaine d’artistes prennent part à la programmation dont la chorégraphe Audrey Gaussiran et la bédéiste Myriam Bourgeois rencontrées récemment à la bibliothèque Émile-Nelligan, dans Laval-des-Rapides.
«Ma démarche ne se prête pas toujours à ce projet, étant d’abord une artiste de scène, mais ma vidéo Portraits dansés correspondait parfaitement, d’autant que le public y découvre les œuvres intimistes de trois autres danseurs lavallois, filmés dans des lieux significatifs du territoire», raconte Audrey Gaussiran, qui a reçu le support financier du Conseil des arts et des lettres du Québec.
Autre fier natif lavallois, Benoit Jones-Vallée, vidéaste et directeur de la photographie, a porté son œil sur les performances d’Anne-Rose Cupidon, de Mireille Gariépy et Jean-Benoit Labrecque se déroulant au parc des Prairies, Centre de la nature, ainsi qu’à la Maison des arts et salle André-Mathieu.
Après le succès de sa pièce Corrida, Audrey Gaussiran s’est intéressée au processus de création d’autres collègues qui l’inspirent.
«Ça ne peut pas être plus Fabriqué à/Made in Laval! de s’exclamer celle qui a pris une brève pause de la scène pour devenir maman. En plus de permettre de m’attarder à des parties d’un corps en plein mouvement, une telle vidéo est une belle façon de pouvoir faire voyager le travail de ces danseurs.»
Bédé artisanale
Placière durant six ans dans les principales salles de spectacle lavalloises, l’auteure et bédéiste Myriam Bourgeois connaît bien la Centrale des artistes. L’initiative visant à faire rayonner le talent chez lui via le réseau des bibliothèques l’a vite interpellée, elle qui a publié la bande dessinée Quitter le rivage, en novembre 2017.
«J’y parle de notre relation au bonheur en proposant mon propre questionnement alors que celui-ci ne se trouve pas nécessairement où nous porte notre quête, confie celle qui a grandi dans Chomedey. C’est un livre qui est né pendant une conversation anodine avec une amie autour d’un feu, en camping.»
«C’est vraiment plaisant de souligner l’appartenance lavalloise de ces jeunes créateurs et faciliter l’accès à leurs œuvres», de conclure Laurence Perreault, adjointe à la programmation pour la Centrale des artistes.
Cette année, une dizaine d’artistes prennent part à la programmation dont la chorégraphe Audrey Gaussiran et la bédéiste Myriam Bourgeois rencontrées récemment à la bibliothèque Émile-Nelligan, dans Laval-des-Rapides.
«Ma démarche ne se prête pas toujours à ce projet, étant d’abord une artiste de scène, mais ma vidéo Portraits dansés correspondait parfaitement, d’autant que le public y découvre les œuvres intimistes de trois autres danseurs lavallois, filmés dans des lieux significatifs du territoire», raconte Audrey Gaussiran, qui a reçu le support financier du Conseil des arts et des lettres du Québec.
Autre fier natif lavallois, Benoit Jones-Vallée, vidéaste et directeur de la photographie, a porté son œil sur les performances d’Anne-Rose Cupidon, de Mireille Gariépy et Jean-Benoit Labrecque se déroulant au parc des Prairies, Centre de la nature, ainsi qu’à la Maison des arts et salle André-Mathieu.
Après le succès de sa pièce Corrida, Audrey Gaussiran s’est intéressée au processus de création d’autres collègues qui l’inspirent.
«Ça ne peut pas être plus Fabriqué à/Made in Laval! de s’exclamer celle qui a pris une brève pause de la scène pour devenir maman. En plus de permettre de m’attarder à des parties d’un corps en plein mouvement, une telle vidéo est une belle façon de pouvoir faire voyager le travail de ces danseurs.»
Bédé artisanale
Placière durant six ans dans les principales salles de spectacle lavalloises, l’auteure et bédéiste Myriam Bourgeois connaît bien la Centrale des artistes. L’initiative visant à faire rayonner le talent chez lui via le réseau des bibliothèques l’a vite interpellée, elle qui a publié la bande dessinée Quitter le rivage, en novembre 2017.
«J’y parle de notre relation au bonheur en proposant mon propre questionnement alors que celui-ci ne se trouve pas nécessairement où nous porte notre quête, confie celle qui a grandi dans Chomedey. C’est un livre qui est né pendant une conversation anodine avec une amie autour d’un feu, en camping.»
«C’est vraiment plaisant de souligner l’appartenance lavalloise de ces jeunes créateurs et faciliter l’accès à leurs œuvres», de conclure Laurence Perreault, adjointe à la programmation pour la Centrale des artistes.