«Les Barr Brothers venaient de livrer un show hallucinant, on a jasé longtemps, de raconter Fred Fortin. Leur style correspondait aux aspirations musicales que j’avais. Brad joue de la guitare comme personne et Andrew a une belle tranquillité aux drums. Quand je vois ces deux frères qui évoluent ensemble depuis toujours, je me reconnais là-dedans, avec ce que je vis en compagnie d’Olivier (Langevin).»
Son vieux complice s’est d’ailleurs chargé de la basse, alors que François Lafontaine jouait les synthétiseurs et Sam Joly, la batterie.
Époque et émotion
N’ayant rien planifié au fil d’Oiseau, qui ouvre l’album, ainsi que Tapis noir et 10 $, le premier extrait sorti il y a un an, l’auteur-compositeur-interprète intense et coloré a échafaudé une oeuvre nourrie par la montée de la violence à l’échelle mondiale et de valeurs environnementales maltraitées, lui qui «gosse» ses compositions dans son chalet du Lac.
«On vit dans une période pas évidente, à gérer chacun de notre bord une quête du bonheur, de raconter Fred Fortin. La musique a pour but de nous concentrer sur ce qu’on a de plus humain. J’ai laissé aller ma naïveté sur le manche de ma guitare et c’est sorti plus mélancolique que ce à quoi je m’attendais.»
C’est aussi dans son chalet que l’artiste a vécu les dernières élections fédérales qui lui ont inspiré l’ironique L’amour Ô Canada.
En spectacle, Fred Fortin s’amènera avec quatre musiciens, la plupart étant ceux de l’album. «Il y a un côté jazz et rock plus accentué sur scène, de mentionner celui qui est aussi bassiste du groupe Galaxie et meneur de la formation Gros Mené. D’une place à l’autre, il arrive de beaux accidents!»
Fred Fortin et ses musiciens seront en spectacle ce samedi 15 avril, à 20h, à l’Annexe 3 de la salle André-Mathieu (475, boulevard de l’Avenir). Information: 450 667-2040.
«Les Barr Brothers venaient de livrer un show hallucinant, on a jasé longtemps, de raconter Fred Fortin. Leur style correspondait aux aspirations musicales que j’avais. Brad joue de la guitare comme personne et Andrew a une belle tranquillité aux drums. Quand je vois ces deux frères qui évoluent ensemble depuis toujours, je me reconnais là-dedans, avec ce que je vis en compagnie d’Olivier (Langevin).»
Son vieux complice s’est d’ailleurs chargé de la basse, alors que François Lafontaine jouait les synthétiseurs et Sam Joly, la batterie.
Époque et émotion
N’ayant rien planifié au fil d’Oiseau, qui ouvre l’album, ainsi que Tapis noir et 10 $, le premier extrait sorti il y a un an, l’auteur-compositeur-interprète intense et coloré a échafaudé une oeuvre nourrie par la montée de la violence à l’échelle mondiale et de valeurs environnementales maltraitées, lui qui «gosse» ses compositions dans son chalet du Lac.
«On vit dans une période pas évidente, à gérer chacun de notre bord une quête du bonheur, de raconter Fred Fortin. La musique a pour but de nous concentrer sur ce qu’on a de plus humain. J’ai laissé aller ma naïveté sur le manche de ma guitare et c’est sorti plus mélancolique que ce à quoi je m’attendais.»
C’est aussi dans son chalet que l’artiste a vécu les dernières élections fédérales qui lui ont inspiré l’ironique L’amour Ô Canada.
En spectacle, Fred Fortin s’amènera avec quatre musiciens, la plupart étant ceux de l’album. «Il y a un côté jazz et rock plus accentué sur scène, de mentionner celui qui est aussi bassiste du groupe Galaxie et meneur de la formation Gros Mené. D’une place à l’autre, il arrive de beaux accidents!»
Fred Fortin et ses musiciens seront en spectacle ce samedi 15 avril, à 20h, à l’Annexe 3 de la salle André-Mathieu (475, boulevard de l’Avenir). Information: 450 667-2040.