« La pluie incessante nous a obligés à annuler plusieurs activités, pour des raisons de sécurité, explique Marie-Ève Charron de la Ville de Laval. Malgré tout, nous avons maintenu les spectacles et l’usine à maquillage sous chapiteau, ainsi que l’épluchette de blé d’Inde. »
C’est de la déception qui était au menu pour l’équipe organisatrice.
« Nous étions si fiers de la programmation de cette année, affirme Mme Charron. C’est avec tristesse que nous avons dû annuler. Sur les réseaux sociaux, on nous a demandé pourquoi on ne reportait pas à la place. Cette décision est une question de logistique : disponibilité des artistes et des fournisseurs, mobilisation d’une centaine d’employés le jour de l’événement… On ne peut pas changer la date d’un événement comme celui-là. On peut juste en changer la formule, selon un plan B déterminé. »
Précisons qu’en 18 ans, la seule édition qui a été annulée complètement a été celle de 2006.
Spectacles intimistes
La fête de plus petite envergure s’est donc tenue dans le chapiteau qui est généralement aux pique-niques.
« Les courageux ayant fait le déplacement ont apprécié la proximité avec les artistes en raison du côté intimiste du chapiteau, mentionne la porte-parole de l’événement. On présentait de si belles têtes d’affiche : Annie Brocoli, Ari Cui Cui, Salmigondis et Théo et Frédo. »
Près de 2000 personnes sont donc venues assister à ces spectacles. Plusieurs enfants ont aussi fait la file pour une session de maquillage magique. Cela a été le cas d’Alexia Bouchard, 3 ½ ans de Mirabel.
« Il n’était pas question de ne pas venir, dit sa mère Karine Gaudreault, une ancienne résidente de Laval. Quand elle a su qu’il y avait cette activité, elle voulait absolument se faire maquiller. On a donc bravé la pluie. Ça valait la peine, puisque c’est très bien organisé. »
Du maïs pour un organisme
Du côté de la Croix-Rouge qui organisait l’épluchette de maïs, la déception était palpable.
« Trente cadets de la région et 16 étudiants de l’Institut de protection contre les incendies du Québec (IPIQ) étaient au rendez-vous ce matin pour éplucher des milliers d’épis de maïs, raconte Diane Haché de la Croix-Rouge de Laval. Il en reste tellement que nous les donnerons à l’Accueil Bonneau. »
Malgré cette édition actuelle décevante, la Ville de Laval donne déjà rendez-vous aux citoyens l’année prochaine.
« Nous convions les citoyens à la 19e édition, le 2 septembre 2018 », conclut Marie-Ève Charron.
« La pluie incessante nous a obligés à annuler plusieurs activités, pour des raisons de sécurité, explique Marie-Ève Charron de la Ville de Laval. Malgré tout, nous avons maintenu les spectacles et l’usine à maquillage sous chapiteau, ainsi que l’épluchette de blé d’Inde. »
C’est de la déception qui était au menu pour l’équipe organisatrice.
« Nous étions si fiers de la programmation de cette année, affirme Mme Charron. C’est avec tristesse que nous avons dû annuler. Sur les réseaux sociaux, on nous a demandé pourquoi on ne reportait pas à la place. Cette décision est une question de logistique : disponibilité des artistes et des fournisseurs, mobilisation d’une centaine d’employés le jour de l’événement… On ne peut pas changer la date d’un événement comme celui-là. On peut juste en changer la formule, selon un plan B déterminé. »
Précisons qu’en 18 ans, la seule édition qui a été annulée complètement a été celle de 2006.
Spectacles intimistes
La fête de plus petite envergure s’est donc tenue dans le chapiteau qui est généralement aux pique-niques.
« Les courageux ayant fait le déplacement ont apprécié la proximité avec les artistes en raison du côté intimiste du chapiteau, mentionne la porte-parole de l’événement. On présentait de si belles têtes d’affiche : Annie Brocoli, Ari Cui Cui, Salmigondis et Théo et Frédo. »
Près de 2000 personnes sont donc venues assister à ces spectacles. Plusieurs enfants ont aussi fait la file pour une session de maquillage magique. Cela a été le cas d’Alexia Bouchard, 3 ½ ans de Mirabel.
« Il n’était pas question de ne pas venir, dit sa mère Karine Gaudreault, une ancienne résidente de Laval. Quand elle a su qu’il y avait cette activité, elle voulait absolument se faire maquiller. On a donc bravé la pluie. Ça valait la peine, puisque c’est très bien organisé. »
Du maïs pour un organisme
Du côté de la Croix-Rouge qui organisait l’épluchette de maïs, la déception était palpable.
« Trente cadets de la région et 16 étudiants de l’Institut de protection contre les incendies du Québec (IPIQ) étaient au rendez-vous ce matin pour éplucher des milliers d’épis de maïs, raconte Diane Haché de la Croix-Rouge de Laval. Il en reste tellement que nous les donnerons à l’Accueil Bonneau. »
Malgré cette édition actuelle décevante, la Ville de Laval donne déjà rendez-vous aux citoyens l’année prochaine.
« Nous convions les citoyens à la 19e édition, le 2 septembre 2018 », conclut Marie-Ève Charron.