La Police de Laval confirme avoir ouvert une enquête pour voies de fait. «Pour le moment, on ignore quel élève serait responsable. On ne sait pas non plus si c’est un voies de fait, car il n’y a pas eu de coups, d’agression physique», précise la sergente Geneviève Major, porte-parole.
«L’éducatrice aurait eu des sensations de brûlure à la bouche après avoir bu un liquide, précise l’agente aux Affaires publics, Évelyne Boudreau. Ce fameux liquide a été envoyé en expertise et nous aurons des réponses dans environ huit semaines. D’ici là, il y a une enquête.»
Pas de commentaire
Le directeur de l’école Leblanc, Jean-Sébastien Desrosiers, n’a pas voulu émettre de commentaires, référant plutôt le Courrier Laval au directeur des communications de la Commission scolaire de Laval (CSDL), Jean-Pierre Archambault. Ce dernier n’a pas retourné nos nombreux appels.
Même son de cloche de la part du Syndicat lavallois des employés de soutien. «L’enquête suit son cours. Cet incident n’est pas relié aux coupures en éducation. Certains font des raccourcis», admet le président, Yves Brouillette.La Police de Laval confirme avoir ouvert une enquête. «Pour le moment, on ignore quel élève serait responsable. On ne sait pas non plus si c’est pour voies de fait, car il n’y a pas eu de coups, d’agression physique», mentionne la sergente Geneviève Major, porte-parole.
«L’éducatrice se serait brûlée à la bouche après avoir bu un liquide. Ce fameux liquide a été envoyé en expertise», ajoute-t-elle.
Le directeur de l’école Leblanc, Jean-Sébastien Desrosiers, n’a pas voulu émettre de commentaires, référant plutôt le Courrier Laval au directeur des communications de la Commission scolaire de Laval (CSDL), Jean-Pierre Archambault.
Même son de cloche de la part du Syndicat lavallois des employés de soutien. «L’enquête suit son cours. Cet incident n’est pas relié aux coupures en éducation. Certains font des raccourcis», admet le président Yves Brouillette.
Pour sa part, la CSDL n’a pas retourné les nombreux appels.