Cette initiative, on la doit au conseiller indépendant Pierre Anthian qui, à la dernière assemblée, a émis le souhait que Laval emboîte le pas à certaines villes du Québec qui, déjà, légifèrent en ce sens.
En accord avec le principe, Virginie Dufour, responsable de l’urbanisme au comité exécutif, a proposé que le directeur général Serge Lamontagne et son équipe se penchent sur la question, analysent ce qui se fait ailleurs et les applications possibles au règlement de zonage.
Clé en main
Conseiller de l’opposition officielle, Michel Trottier a rappelé le projet-pilote auquel s’étaient prêtées, il y a quelques années déjà, les villes de Gatineau, Lavaltrie et Baie-Saint-Paul.
Sous l’impulsion de l’Association pour la santé publique du Québec, conjointement avec le Réseau québécois des Villes et Villages en santé (RQVVS), cette démarche a permis de documenter des pistes d’action légales mises à la disposition des municipalités soucieuses de ne pas surexposer les étudiants à la restauration rapide, a laissé entendre le conseiller de Fabreville.
La Direction générale devrait trouver réponses à toutes ses questions dans le document titré «La zone école et l’alimentation: des pistes d’action pour le monde municipal», a terminé M. Trottier.