C’est une hausse de 50 % par rapport à l’achalandage enregistré à la seconde édition, tenue à la même période et au même endroit l’an dernier.
«On a été chanceux», reconnaît la fondatrice de l’événement en évoquant la température, et ce, malgré une levée de rideau sous la pluie, le vendredi.
La journée du samedi a de loin été la plus courue des festivaliers, précise-t-elle. À l’ouverture du site, à 11h, les gens faisaient la queue à la billetterie et cette file d’attente s’est maintenue jusqu’à l’heure du souper où l’affluence a atteint un sommet. «Vers 17-18 h, la file allait à peu près jusqu’à l’avenue du Parc.»
Si les camions-restaurants «ont manqué de bouffe» ce jour-là, les 35 microbrasseries présentes sur le site avaient, elles, prévu le coup et n’ont pas été à court de houblon.
Enthousiasme unanime
Vendredi, les caprices de Dame Nature n’avaient en rien ralenti les ardeurs des exposants.
«Nous sommes là depuis les débuts, mentionnait Stéphanie Ledoux des Brasseurs du Monde (Saint-Hyacinthe). Nous avons même brassé la bière officielle de la première édition. On adore l’aspect ludique et familial de l’événement. Les gens sont heureux de venir découvrir la bière sur un site plus intime axé sur des brasseurs plus locaux que bien d’autres festivals du genre.»
«La sélection des participants est vraiment remarquable. On sent que ce festival va gagner en achalandage dans le futur!» s’exclamait Mario Lapointe, l’un des trois propriétaires de la microbrasserie Le Grimoire, de Granby.
Chez Harricana, de Montréal, on faisait goûter pour la première fois la No. 213, Maracuja Sour, une collaboration avec les brasseurs nomades Bob Magnal. «C’est notre seconde visite ici, précisait pour sa part Laurie Thériault. C’est proche de Montréal et une belle opportunité d’attirer du nouveau monde, car on commence à entrer dans les marchés et dépanneurs.»
Venue de Vankleek Hill, en Ontario, l’équipe de Beau’s a fait la promotion de la traditionnelle Lug&Tread et ses spécialités de type gruté qu’on aromatise avec des herbes, fruits ou légumes.
«L’esprit festif et la bonne humeur des bénévoles nous font revenir après une première visite l’été dernier, a fait valoir son porte-parole Jonathan Martin-Bélec. La réponse du public est vraiment plaisante à Laval!»
Refus
Si Marilène Barale a refusé cette année 16 microbrasseries pour éviter de diluer l’offre sur le site, elle entend en accueillir une dizaine de plus l’an prochain, l’achalandage de son festival le justifiant.
Enfin, outre quelques coups de chaleur et problèmes de déshydratation recensés au cours du week-end, le Festival des bières n’a donné lieu à aucun débordement, excès ou incident majeur.
«C’est un festival de dégustation, rappelle l’organisatrice. On incite à la consommation responsable et il y a beaucoup de prévention qui se fait à cet égard.»
(Avec la collaboration de Benoît Leblanc)
C’est une hausse de 50 % par rapport à l’achalandage enregistré à la seconde édition, tenue à la même période et au même endroit l’an dernier.
«On a été chanceux», reconnaît la fondatrice de l’événement en évoquant la température, et ce, malgré une levée de rideau sous la pluie, le vendredi.
La journée du samedi a de loin été la plus courue des festivaliers, précise-t-elle. À l’ouverture du site, à 11h, les gens faisaient la queue à la billetterie et cette file d’attente s’est maintenue jusqu’à l’heure du souper où l’affluence a atteint un sommet. «Vers 17-18 h, la file allait à peu près jusqu’à l’avenue du Parc.»
Si les camions-restaurants «ont manqué de bouffe» ce jour-là, les 35 microbrasseries présentes sur le site avaient, elles, prévu le coup et n’ont pas été à court de houblon.
Enthousiasme unanime
Vendredi, les caprices de Dame Nature n’avaient en rien ralenti les ardeurs des exposants.
«Nous sommes là depuis les débuts, mentionnait Stéphanie Ledoux des Brasseurs du Monde (Saint-Hyacinthe). Nous avons même brassé la bière officielle de la première édition. On adore l’aspect ludique et familial de l’événement. Les gens sont heureux de venir découvrir la bière sur un site plus intime axé sur des brasseurs plus locaux que bien d’autres festivals du genre.»
«La sélection des participants est vraiment remarquable. On sent que ce festival va gagner en achalandage dans le futur!» s’exclamait Mario Lapointe, l’un des trois propriétaires de la microbrasserie Le Grimoire, de Granby.
Chez Harricana, de Montréal, on faisait goûter pour la première fois la No. 213, Maracuja Sour, une collaboration avec les brasseurs nomades Bob Magnal. «C’est notre seconde visite ici, précisait pour sa part Laurie Thériault. C’est proche de Montréal et une belle opportunité d’attirer du nouveau monde, car on commence à entrer dans les marchés et dépanneurs.»
Venue de Vankleek Hill, en Ontario, l’équipe de Beau’s a fait la promotion de la traditionnelle Lug&Tread et ses spécialités de type gruté qu’on aromatise avec des herbes, fruits ou légumes.
«L’esprit festif et la bonne humeur des bénévoles nous font revenir après une première visite l’été dernier, a fait valoir son porte-parole Jonathan Martin-Bélec. La réponse du public est vraiment plaisante à Laval!»
Refus
Si Marilène Barale a refusé cette année 16 microbrasseries pour éviter de diluer l’offre sur le site, elle entend en accueillir une dizaine de plus l’an prochain, l’achalandage de son festival le justifiant.
Enfin, outre quelques coups de chaleur et problèmes de déshydratation recensés au cours du week-end, le Festival des bières n’a donné lieu à aucun débordement, excès ou incident majeur.
«C’est un festival de dégustation, rappelle l’organisatrice. On incite à la consommation responsable et il y a beaucoup de prévention qui se fait à cet égard.»
(Avec la collaboration de Benoît Leblanc)