Son nom figure aux côtés de deux autres femmes dans la catégorie Cadre, dirigeante ou professionnelle, OBNL. C’est le 8 novembre que les lauréates seront couronnées lors d’un gala au Palais des congrès de Montréal et dont la présidence d’honneur a été confiée à l’ancienne dragonne Danièle Henkel.
«Remplir le questionnaire nous pousse à faire un bilan de l’organisation et de nous-même, en décrivant notamment le chemin parcouru», explique celle qui a fondé avec deux autres personnes la Maison des enfants le Dauphin, il y a 22 ans.
Proposer des activités aux 0-5 ans (plus de 160 enfants rejoints par année), aux 6-12 ans (quelque 600 différents accueillis annuellement) et aux familles est la fondation même du regroupement de la rue Loranger, à Chomedey, mais au-delà de sa mission première émergent également des similitudes avec une PME.
«On innove notre gestion des ressources humaines, on fait de la planification stratégique, on mobilise les gens d’affaires, on crée de l’emploi, on embauche des gens, par conséquent on aide à l’économie du Québec, et c’est fait tout en offrant des services à la population. On doit être fiers de ça. Mais il n’y a pas qu’ici qu’on remarque cette belle émergence entrepreneuriale [sur le territoire lavallois]», insiste-t-elle.
Stéphanie Leblanc note aussi la place donnée aux parents que ce soit dans des comités ou autres activités telles que des fêtes de quartier et qui les amènent parfois à tracer leur propre voie en-dehors des murs de la Maison. «Ils voient ce qu’ils sont capables de faire», explique la directrice.
Confidences à un Dauphin
Un des services offerts par la Maison est Confidences à un Dauphin, mis sur pied en partenariat avec la Commission scolaire de Laval. L’activité a tellement grandi avec les années que la cinquantaine de bénévoles y étant rattachés ont aménagé dans un nouveau local.
«Présentement, 28 écoles sur 54 participent à cette activité. Durant les 3 dernières années, on a reçu entre 10 000 et 12 000 lettres, qui proviennent de 3000 enfants différents. Notre objectif est d’être dans toutes les écoles d’ici quatre ans parce que ce serait dommage que des enfants qui ont besoin d’aide n’aient pas accès au service», confie Stéphanie Leblanc.
Financement
La grande partie du budget de la Maison des enfants le Dauphin repose sur «du jus de bras» révèle la directrice en riant, en référence aux nombreuses activités de financement qui amènent de l’eau au moulin, en ajout aux subventions déjà octroyées à l’organisme..
Le mois dernier, la deuxième Soirée en bleu du Dauphin a engrangé des profits de 60 000 $, soit 50 % de plus que la première édition, en 2016. Également, le regroupement a dans sa mire une campagne de financement majeure l’an prochain, dont les détails ne peuvent encore être dévoilés.
«Les gens sont généreux et on est très reconnaissants du soutien que nous avons depuis 22 ans», termine-t-elle.
Son nom figure aux côtés de deux autres femmes dans la catégorie Cadre, dirigeante ou professionnelle, OBNL. C’est le 8 novembre que les lauréates seront couronnées lors d’un gala au Palais des congrès de Montréal et dont la présidence d’honneur a été confiée à l’ancienne dragonne Danièle Henkel.
«Remplir le questionnaire nous pousse à faire un bilan de l’organisation et de nous-même, en décrivant notamment le chemin parcouru», explique celle qui a fondé avec deux autres personnes la Maison des enfants le Dauphin, il y a 22 ans.
Proposer des activités aux 0-5 ans (plus de 160 enfants rejoints par année), aux 6-12 ans (quelque 600 différents accueillis annuellement) et aux familles est la fondation même du regroupement de la rue Loranger, à Chomedey, mais au-delà de sa mission première émergent également des similitudes avec une PME.
«On innove notre gestion des ressources humaines, on fait de la planification stratégique, on mobilise les gens d’affaires, on crée de l’emploi, on embauche des gens, par conséquent on aide à l’économie du Québec, et c’est fait tout en offrant des services à la population. On doit être fiers de ça. Mais il n’y a pas qu’ici qu’on remarque cette belle émergence entrepreneuriale [sur le territoire lavallois]», insiste-t-elle.
Stéphanie Leblanc note aussi la place donnée aux parents que ce soit dans des comités ou autres activités telles que des fêtes de quartier et qui les amènent parfois à tracer leur propre voie en-dehors des murs de la Maison. «Ils voient ce qu’ils sont capables de faire», explique la directrice.
Confidences à un Dauphin
Un des services offerts par la Maison est Confidences à un Dauphin, mis sur pied en partenariat avec la Commission scolaire de Laval. L’activité a tellement grandi avec les années que la cinquantaine de bénévoles y étant rattachés ont aménagé dans un nouveau local.
«Présentement, 28 écoles sur 54 participent à cette activité. Durant les 3 dernières années, on a reçu entre 10 000 et 12 000 lettres, qui proviennent de 3000 enfants différents. Notre objectif est d’être dans toutes les écoles d’ici quatre ans parce que ce serait dommage que des enfants qui ont besoin d’aide n’aient pas accès au service», confie Stéphanie Leblanc.
Financement
La grande partie du budget de la Maison des enfants le Dauphin repose sur «du jus de bras» révèle la directrice en riant, en référence aux nombreuses activités de financement qui amènent de l’eau au moulin, en ajout aux subventions déjà octroyées à l’organisme..
Le mois dernier, la deuxième Soirée en bleu du Dauphin a engrangé des profits de 60 000 $, soit 50 % de plus que la première édition, en 2016. Également, le regroupement a dans sa mire une campagne de financement majeure l’an prochain, dont les détails ne peuvent encore être dévoilés.
«Les gens sont généreux et on est très reconnaissants du soutien que nous avons depuis 22 ans», termine-t-elle.