Le musicien y est accompagné des trois danseurs de talent Maïka Chiasson, Sarah Jeanne et Charles Brecard, évoluant au ralenti dans un univers éthéré alors que les doigts de Rousso parcourent les notes au rythme normal de sa pièce mariant classique, pop et jazz.
«Ça donne un effet mielleux à l’ensemble, de confier Xavier Rousseau, alias Rousso, qui a grandi dans Fabreville Ouest. J’ai composé ce morceau dans mon appartement après le deuxième café de l’artiste qui se met au piano à l’heure où tout le monde travaille. Ça roule tranquillement sur le boulevard, il y a des parcelles de soleil qui se promènent dans l’air.»
Le public retrouvera aussi l’inspiration de Chilly Gonzalez, l’une des influences du jeune musicien de 28 ans également adepte de Deadmau5.
Premier succès
Rousso s’est fait connaître en remportant le concours Fais partie du band de l’émission musicale Belle et Bum. Il a performé au petit écran en février 2017 avec sa création Rollercoaster qui pourrait bien devenir son second vidéo-clip bien que rien ne soit encore confirmé.
«Celle-là est une pièce très rythmée, swing, en plein héritage du jazz des années 1950, de préciser celui qui enseigne au Centre de formation musicale de Sainte-Rose. Ça exige pas mal de virtuosité de la main droite.»
Passion depuis toujours
Petit, Rousso tapait déjà sur le piano de sa grand-mère. Après ses premières leçons auprès de Danielle Montpetit, à Saint-Eustache, le pianiste est entré au Conservatoire de musique de Montréal à l’âge de 12 ans pour n’en ressortir qu’en 2015.
Il y a côtoyé des professeurs déterminants tels Raoul Sosa, Richard Raymond et particulièrement André Laplante, sans oublier quelques classes de maîtres en compagnie de Lang Lang, Chilly Gonzalez et de la Lavalloise Lorraine Desmarais.
«Maintenant, je fais beaucoup dans la musique électro et les trames sonores, avec l’envie de toucher constamment à tous les styles avec beaucoup d’humour», de conclure le récipiendaire à sept reprises d’une bourse de la Fondation de soutien aux arts de Laval.
Le musicien y est accompagné des trois danseurs de talent Maïka Chiasson, Sarah Jeanne et Charles Brecard, évoluant au ralenti dans un univers éthéré alors que les doigts de Rousso parcourent les notes au rythme normal de sa pièce mariant classique, pop et jazz.
«Ça donne un effet mielleux à l’ensemble, de confier Xavier Rousseau, alias Rousso, qui a grandi dans Fabreville Ouest. J’ai composé ce morceau dans mon appartement après le deuxième café de l’artiste qui se met au piano à l’heure où tout le monde travaille. Ça roule tranquillement sur le boulevard, il y a des parcelles de soleil qui se promènent dans l’air.»
Le public retrouvera aussi l’inspiration de Chilly Gonzalez, l’une des influences du jeune musicien de 28 ans également adepte de Deadmau5.
Premier succès
Rousso s’est fait connaître en remportant le concours Fais partie du band de l’émission musicale Belle et Bum. Il a performé au petit écran en février 2017 avec sa création Rollercoaster qui pourrait bien devenir son second vidéo-clip bien que rien ne soit encore confirmé.
«Celle-là est une pièce très rythmée, swing, en plein héritage du jazz des années 1950, de préciser celui qui enseigne au Centre de formation musicale de Sainte-Rose. Ça exige pas mal de virtuosité de la main droite.»
Passion depuis toujours
Petit, Rousso tapait déjà sur le piano de sa grand-mère. Après ses premières leçons auprès de Danielle Montpetit, à Saint-Eustache, le pianiste est entré au Conservatoire de musique de Montréal à l’âge de 12 ans pour n’en ressortir qu’en 2015.
Il y a côtoyé des professeurs déterminants tels Raoul Sosa, Richard Raymond et particulièrement André Laplante, sans oublier quelques classes de maîtres en compagnie de Lang Lang, Chilly Gonzalez et de la Lavalloise Lorraine Desmarais.
«Maintenant, je fais beaucoup dans la musique électro et les trames sonores, avec l’envie de toucher constamment à tous les styles avec beaucoup d’humour», de conclure le récipiendaire à sept reprises d’une bourse de la Fondation de soutien aux arts de Laval.