L’athlète a été choisi par la Fédération internationale de hockey sur glace. Il a appris l’heureuse nouvelle quand Todd Anderson l’a appelé le 28 novembre. «Je m’y attendais un peu, lance avec fierté Olivier Gouin. J’avais participé à un camp de préparation cet été à Zurich en compagnie de 28 officiels, dont 14 arbitres en chef. Ce n’est pas une grande surprise.»
Olivier croyait en ses chances d’obtenir une place aux Jeux olympiques. «J’avais connu du succès au Championnat du monde, précise-t-il. Avec l’absence des arbitres de la Ligue nationale de hockey (LNH), les astres étaient alignés pour moi.»
Rêve
Acteurs essentiels des Olympiques, les hommes au chandail rayé nouent aussi un lien particulier avec la grand-messe du sport internationale. De la patinoire municipale (aréna Samson devenu Martin St-Louis) aux Centres Kwandong et Gagneung, Olivier vivra un rêve en Corée du Sud.
«C’est un rêve qui devient réalité, admet-il sans détour. C’est le plus grand événement sportif de la planète. J’essayais de ne pas trop y penser.»
D’ici les Jeux, il devra se plonger dans le livre des règlements. «Ça ressemblera au Championnat du monde. Je ne serai pas trop dépaysé.» Celui qui s’entraîne trois à quatre fois par semaine voit cette nomination comme une excellente source de motivation.
À quoi peut-il s’attendre? Le principal intéressé n’a aucune idée du calibre de jeu avec l’absence des meilleurs joueurs au monde. «Je pense que ça pourrait ressembler à la Ligue américaine, mentionne celui qui ne va pas en Corée du Sud pour jouer les touristes. Je vais là pour performer sur la glace, donner le meilleur de moi.»
Olivier aimerait bien aller voir d’autres sports comme le ski acrobatique avec Mikaël Kingsbury, le hockey féminin et le patinage de vitesse. Il souhaite également vivre au village olympique et côtoyer les athlètes. «Je ne sais pas trop comment ça fonctionne, mais une chose est certaine je ne resterai pas à dormir dans ma chambre. Je veux profiter pleinement de ces Jeux.»
Sécurité
Avec les menaces du président de la Corée du Nord, Kim Jong-Un, Olivier n’est pas trop inquiet pour sa sécurité. «À vrai dire je n’y pense même pas. De toute façon, il n’y a pas grand-chose que l’on peut contrôler. Je pense que ce sera l’endroit le plus protégé au monde.»
Place Bell
L’athlète de 26 ans en est à sa sixième saison comme arbitre dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ). Il a aussi de l’expérience dans la Ligue américaine. D’ailleurs, il a arbitré deux parties à la Place Bell. «J’ai été impressionné. L’amphithéâtre est de loin le plus beau de la Ligue américaine. Le vestiaire est immense. Ce sont des installations professionnelles. Et que dire du voyagement, c’est à côté de chez moi.»
Expériences
Olivier Gouin a également œuvré à deux reprises à la Super Série Canada-Russie. Il était aussi d’office à la finale de la Coupe Memorial, en 2015-2016, à Red Deer, en Alberta. Sur la scène internationale, Gouin a notamment pris part au Championnat mondial des 20 ans et moins, l’an dernier, en Allemagne.
L’athlète a été choisi par la Fédération internationale de hockey sur glace. Il a appris l’heureuse nouvelle quand Todd Anderson l’a appelé le 28 novembre. «Je m’y attendais un peu, lance avec fierté Olivier Gouin. J’avais participé à un camp de préparation cet été à Zurich en compagnie de 28 officiels, dont 14 arbitres en chef. Ce n’est pas une grande surprise.»
Olivier croyait en ses chances d’obtenir une place aux Jeux olympiques. «J’avais connu du succès au Championnat du monde, précise-t-il. Avec l’absence des arbitres de la Ligue nationale de hockey (LNH), les astres étaient alignés pour moi.»
Rêve
Acteurs essentiels des Olympiques, les hommes au chandail rayé nouent aussi un lien particulier avec la grand-messe du sport internationale. De la patinoire municipale (aréna Samson devenu Martin St-Louis) aux Centres Kwandong et Gagneung, Olivier vivra un rêve en Corée du Sud.
«C’est un rêve qui devient réalité, admet-il sans détour. C’est le plus grand événement sportif de la planète. J’essayais de ne pas trop y penser.»
D’ici les Jeux, il devra se plonger dans le livre des règlements. «Ça ressemblera au Championnat du monde. Je ne serai pas trop dépaysé.» Celui qui s’entraîne trois à quatre fois par semaine voit cette nomination comme une excellente source de motivation.
À quoi peut-il s’attendre? Le principal intéressé n’a aucune idée du calibre de jeu avec l’absence des meilleurs joueurs au monde. «Je pense que ça pourrait ressembler à la Ligue américaine, mentionne celui qui ne va pas en Corée du Sud pour jouer les touristes. Je vais là pour performer sur la glace, donner le meilleur de moi.»
Olivier aimerait bien aller voir d’autres sports comme le ski acrobatique avec Mikaël Kingsbury, le hockey féminin et le patinage de vitesse. Il souhaite également vivre au village olympique et côtoyer les athlètes. «Je ne sais pas trop comment ça fonctionne, mais une chose est certaine je ne resterai pas à dormir dans ma chambre. Je veux profiter pleinement de ces Jeux.»
Sécurité
Avec les menaces du président de la Corée du Nord, Kim Jong-Un, Olivier n’est pas trop inquiet pour sa sécurité. «À vrai dire je n’y pense même pas. De toute façon, il n’y a pas grand-chose que l’on peut contrôler. Je pense que ce sera l’endroit le plus protégé au monde.»
Place Bell
L’athlète de 26 ans en est à sa sixième saison comme arbitre dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ). Il a aussi de l’expérience dans la Ligue américaine. D’ailleurs, il a arbitré deux parties à la Place Bell. «J’ai été impressionné. L’amphithéâtre est de loin le plus beau de la Ligue américaine. Le vestiaire est immense. Ce sont des installations professionnelles. Et que dire du voyagement, c’est à côté de chez moi.»
Expériences
Olivier Gouin a également œuvré à deux reprises à la Super Série Canada-Russie. Il était aussi d’office à la finale de la Coupe Memorial, en 2015-2016, à Red Deer, en Alberta. Sur la scène internationale, Gouin a notamment pris part au Championnat mondial des 20 ans et moins, l’an dernier, en Allemagne.