Le comité Agir pour l’Avenir formé d’élèves, de Mélissa Carré, enseignante en français, et Martine Théberge, enseignante en éthique et culture religieuse, ont organisé ce projet.
«Les élèves veulent conscientiser nos élus et la population que nous en avons marre de ces batailles incessantes, nous n’en voulons plus. Ils avaient d’ailleurs préparé de nombreux slogans», affirme Mme Carré.
«Nous voulons démontrer que nous ne tolérons pas l’intolérance. Cette marche est plus importante que jamais avec les récents événements, actes de terrorismes et la guerre en Syrie», poursuit-elle.
Les élèves avaient un message clair pour les dirigeants de la planète: il faut régler les conflits. Ils brandissaient des affiches géantes où on pouvait lire: «Des droits respectés, un grand pas pour l’humanité», «Baissons les armes pour cesser les larmes», «Refusons la guerre accueillons la paix», «Marchons pour la paix, marchons main dans la main».
Pour la cause
Les jeunes, qui ont l’habitude d’accumuler des heures de bénévolat à cette école, n’ont pas pu le faire pour cette activité. «Nous voulions qu’ils participent vraiment pour la cause», souligne Mme Carré.
Le comité organisateur aimerait bien tenir une deuxième marche l’an prochain et en faire un événement annuel le premier mardi de juin. «Nos parents ont traduit des lettres qu’ils ont envoyées à d’autres pays, pour qu’ailleurs dans le monde on fasse la marche pour la paix et les droits de l’homme», termine Mélissa Carré.
Le comité Agir pour l’Avenir formé d’élèves, de Mélissa Carré, enseignante en français, et Martine Théberge, enseignante en éthique et culture religieuse, ont organisé ce projet.
«Les élèves veulent conscientiser nos élus et la population que nous en avons marre de ces batailles incessantes, nous n’en voulons plus. Ils avaient d’ailleurs préparé de nombreux slogans», affirme Mme Carré.
«Nous voulons démontrer que nous ne tolérons pas l’intolérance. Cette marche est plus importante que jamais avec les récents événements, actes de terrorismes et la guerre en Syrie», poursuit-elle.
Les élèves avaient un message clair pour les dirigeants de la planète: il faut régler les conflits. Ils brandissaient des affiches géantes où on pouvait lire: «Des droits respectés, un grand pas pour l’humanité», «Baissons les armes pour cesser les larmes», «Refusons la guerre accueillons la paix», «Marchons pour la paix, marchons main dans la main».
Pour la cause
Les jeunes, qui ont l’habitude d’accumuler des heures de bénévolat à cette école, n’ont pas pu le faire pour cette activité. «Nous voulions qu’ils participent vraiment pour la cause», souligne Mme Carré.
Le comité organisateur aimerait bien tenir une deuxième marche l’an prochain et en faire un événement annuel le premier mardi de juin. «Nos parents ont traduit des lettres qu’ils ont envoyées à d’autres pays, pour qu’ailleurs dans le monde on fasse la marche pour la paix et les droits de l’homme», termine Mélissa Carré.