«Les cols bleus faisaient du bruit devant la résidence du maire, précise le porte-parole de Marc Demers, François Brochu. Ils ont diffusé une musique intimidante avec de puissants haut-parleurs à bord d’une camionnette. Cette tentative d’intimidation n’est pas acceptable. Marc Demers était absent. Tout ce qu’ils ont réussi à faire, c’est d’apeurer son épouse et ses petits-enfants. Il a fallu l’intervention de la police pour les faire partir.»
M. Brochu considère que cette tactique d’intimidation n’a pas sa place dans notre société. «Cela a été perturbant, intimidant et apeurant», insiste-t-il.
Le syndicat nie
Du côté du syndicat, on nie toute forme d’intimidation et on affirme que la police est simplement venue vérifier que tout se déroulait dans le calme.
«Nous n’avons terrorisé personne, affirme le président du syndicat, Martin Gagnon. Au contraire, on a distribué des bonbons et chocolats pour célébrer l’Halloween. Tout le monde semblait joyeux. On a joué de la musique d’Halloween et elle n’était pas trop forte.»
Ce dernier assure que les cols bleus ont fait la rencontre de la fille de Marc Demers qui affichait un grand sourire. «Sa fille a fraternisé avec nous. Nous avons même donné des bonbons à ses enfants qui étaient heureux. On veut nous faire passer pour des monstres», déplore-t-il.
Mandat de grève
Les cols bleus ont quitté à la fin du mois de septembre la table de négociation sur le renouvellement de leur convention collective. Ils estiment que l’administration Demers leur demande trop de concessions. Ils ont également déposé un mandat de grève le 17 octobre.
«Depuis ce temps, c’est silence radio, indique M. Gagnon. Quand le maire dit que nous refusons de retourner à la table de négo sur les ondes du 98,5, c’est faux! Jamais le maire ne nous a rappelés. Il n’a même pas fait appel au médiateur pour communiquer avec nous.»
«Les cols bleus faisaient du bruit devant la résidence du maire, précise le porte-parole de Marc Demers, François Brochu. Ils ont diffusé une musique intimidante avec de puissants haut-parleurs à bord d’une camionnette. Cette tentative d’intimidation n’est pas acceptable. Marc Demers était absent. Tout ce qu’ils ont réussi à faire, c’est d’apeurer son épouse et ses petits-enfants. Il a fallu l’intervention de la police pour les faire partir.»
M. Brochu considère que cette tactique d’intimidation n’a pas sa place dans notre société. «Cela a été perturbant, intimidant et apeurant», insiste-t-il.
Le syndicat nie
Du côté du syndicat, on nie toute forme d’intimidation et on affirme que la police est simplement venue vérifier que tout se déroulait dans le calme.
«Nous n’avons terrorisé personne, affirme le président du syndicat, Martin Gagnon. Au contraire, on a distribué des bonbons et chocolats pour célébrer l’Halloween. Tout le monde semblait joyeux. On a joué de la musique d’Halloween et elle n’était pas trop forte.»
Ce dernier assure que les cols bleus ont fait la rencontre de la fille de Marc Demers qui affichait un grand sourire. «Sa fille a fraternisé avec nous. Nous avons même donné des bonbons à ses enfants qui étaient heureux. On veut nous faire passer pour des monstres», déplore-t-il.
Mandat de grève
Les cols bleus ont quitté à la fin du mois de septembre la table de négociation sur le renouvellement de leur convention collective. Ils estiment que l’administration Demers leur demande trop de concessions. Ils ont également déposé un mandat de grève le 17 octobre.
«Depuis ce temps, c’est silence radio, indique M. Gagnon. Quand le maire dit que nous refusons de retourner à la table de négo sur les ondes du 98,5, c’est faux! Jamais le maire ne nous a rappelés. Il n’a même pas fait appel au médiateur pour communiquer avec nous.»