Stéphane Lavoie, vice-président du Syndicat, avait promis d’être sur le chemin du maire sortant Marc Demers à chacune de ses sorties.
Rappelons que le Syndicat a quitté le processus de médiation sur le renouvellement des conventions collectives au début du mois d’octobre. Le contrat de travail est échu depuis le 1er janvier 2016.
Rocket
Une centaine de cols bleus de Laval ont manifesté devant la Place Bell avant le début du match inaugural du Rocket de Laval, le 6 octobre, en fin d’après-midi.
Munis de trompettes et flûtes, les manifestants ont accompagné le band Atomic, qui était là pour animer les partisans du club-école du Canadien de Montréal, en face du nouvel amphithéâtre. Deux rangées de policiers entouraient les cols bleus.
«C’était important pour nous d’être là pour démontrer au maire notre mécontentement, a soutenu Stéphane Lavoie. Ce ne sera pas la dernière manifestation. Monsieur le maire nous aura souvent dans la face», promet-il.
Les syndiqués brandissaient des pancartes où on pouvait notamment lire: Merci Monsieur Vaillancourt pour la Place Bell; Vaillancourt 1 Demers 0.
Stéphane Lavoie, vice-président du Syndicat, avait promis d’être sur le chemin du maire sortant Marc Demers à chacune de ses sorties.
Rappelons que le Syndicat a quitté le processus de médiation sur le renouvellement des conventions collectives au début du mois d’octobre. Le contrat de travail est échu depuis le 1er janvier 2016.
Rocket
Une centaine de cols bleus de Laval ont manifesté devant la Place Bell avant le début du match inaugural du Rocket de Laval, le 6 octobre, en fin d’après-midi.
Munis de trompettes et flûtes, les manifestants ont accompagné le band Atomic, qui était là pour animer les partisans du club-école du Canadien de Montréal, en face du nouvel amphithéâtre. Deux rangées de policiers entouraient les cols bleus.
«C’était important pour nous d’être là pour démontrer au maire notre mécontentement, a soutenu Stéphane Lavoie. Ce ne sera pas la dernière manifestation. Monsieur le maire nous aura souvent dans la face», promet-il.
Les syndiqués brandissaient des pancartes où on pouvait notamment lire: Merci Monsieur Vaillancourt pour la Place Bell; Vaillancourt 1 Demers 0.