«Je m’adresse à vous aujourd’hui comme citoyen concerné pour plaider […] la cause de tous les résidents confus qui se sentent trompés par des déclarations de Postes Canada qui ne reflètent pas la réalité sur le terrain», écrivait le député libéral élu, mais toujours pas assermenté.
Alerté la veille par des résidents de la rue Fernand-Séguin qui y dénonçaient la poursuite des travaux, M.Iacono avait tenté en vain de convaincre l’entrepreneur de cesser ses travaux.
«L’attente raisonnable du citoyen moyen est qu’un site non creusé au 26 octobre tombe sous le coup du moratoire annoncé», poursuivait-il, tout en encourageant la Société canadienne des postes à reconsidérer sa position d’ici l’entrée en fonction du nouveau gouvernement.