Si l’écriture débute en 2011, «un travail entrecoupé de journées de relaxation», dit-il en riant, on trouve ses racines à la fin des années 1980, époque où le Lavallois découvre cette pratique.
«Lorsque j’ai commencé à méditer, je traversais des difficulté de la vie et je travaillais dans des milieux stressants. Ça m’a tellement apporté de bien-être que je me suis dit que c’était un beau projet à mettre en application», explique M. Larin, ajoutant que l’écriture du livre avait été l’une des plus belles expériences de sa vie.
Trois trésors
Ayant été journaliste et communicateur, Bernard Larin a su maintenir un discours simple dans son livre, proposant une méthode qui saura rassurer tout néophyte intéressé à méditer. «La seule difficulté, c’est de s’y mettre de façon régulière», fait-il remarquer.
L’auteur a divisé Méditer et développer son plein potentiel en trois sections, abordant les trésors de la méditation, une approche très personnelle.
«Chacun est un stade d’évolution. Le premier, je l’ai appelé l’harmonie. Pour moi, ça été au moment de la découverte de la méditation, lorsque j’ai vu ce que ça m’apportait. Le deuxième est la sagesse. La personne qui a déjà pratiqué peut certainement trouver dans ce livre quelque chose qui lui permettra d’aller plus loin, à travers les défis que je pose.»
Le troisième trésor se trouve dans la contemplation, un état qui fait le tour complet de la méditation, souligne le résident de Sainte-Dorothée. «C’est un coup d’œil qui montre jusqu’où on peut aller», dit-il.
Conférences
Après avoir rejoint les gens à travers l’écriture, Bernard Larin aimerait maintenant partager son expérience en donnant des conférences. Un projet de cours est aussi dans ses plans.
Entretemps, après avoir été lancé au Québec sous le sceau des Éditions Dauphin Blanc, Méditer et développer son plein potentiel prendra le chemin de l’Europe à la mi-novembre.
«Il y aurait beaucoup de demande pour ce genre de livre en France, Belgique et Suisse. Selon ma maison d’édition, il y a de plus en plus de gens intéressés par ces questions-là», de conclure Bernard Larin.