La troisième succursale d’Homers Boîte à beignes a ouvert ses portes le samedi 18 janvier, à Laval. Quelques jours plus tard, la file d’attente est toujours aussi longue pour se procurer les gros beignes colorés à l’effigie d’Elmo et Cookie Monster.
«Je m’attendais à avoir du monde, mais pas à ce point-là!» s’exclame Terry Axiotis, fondateur et propriétaire principal d’Homers, dont la première des trois succursales a été inaugurée il y a à peine 10 mois à Montréal, dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce.

(Photo: 2M.Media – Geneviève Quessy)
Le froid mordant de janvier n’empêche pas les gourmands de faire la file devant l’établissement du boulevard Saint-Martin Ouest, dans le quartier Chomedey, dont la devanture est ornée d’un gros beigne rose décoré de bonbons, le beigne signature d’Homers.
«Ce qui nous démarque, c’est que nos beignes sont très bons, et offerts à un très bon prix. On fait des beignes avec de belles couleurs pour les enfants et d’autres plus «adultes», et on essaie de penser à tout pour permettre aux gens de passer un bon moment. Ça fait une belle sortie en famille», dit Terry Axiotis.
En plus des beignes plus traditionnels, dont les Glacé, Choco Glacé, Érable, Poudré ou Sucre Cannelle, Homers sert, entre autres, des beignes à la crème brûlée, à la pistache ou au bacon.

(Photo: 2M.Media – Geneviève Quessy)
Des laits frappés aux saveurs originales et cafés expresso, capuccino ou glacés sont également au menu.
Un item méconnu attire aussi l’attention, le «beignewich». Composé d’un beigne glacé coupé en deux, le beignewich peut être garni d’oeufs et bacon, de smoked-meat ou encore de poulet frit, fromage, bacon, et être servis avec ou sans quartiers de pommes de terre.
«C’est certain que c’est cochon!» confirme Terry Axiotis. «Aux États-Unis, ils proposent des beignes garnis de boeuf haché, mais je voulais faire différent. «On a inventé ça! «Beignewich», ça sonne québécois! Même si on allait dans les territoires anglophones, on garderait le mot.»

(Photo: 2M.Media – Geneviève Quessy)
Les clients peuvent prendre leur commande de beignes pour emporter, ou s’attabler pour les déguster. Des jeux sont mis à leur disposition, dont des jeux d’arcades datant des années 70-80.
Dès l’ouverture de la première succursale, le succès était au rendez-vous, raconte Terry Axiotis.
«Quand j’ai vu qu’au bout d’un mois on avait encore des files de 100 mètres de long, je me suis dit qu’il fallait ouvrir une deuxième succursale. On a ouvert celle de Longueuil et il s’est passé la même chose! On est maintenant rendus à Laval et le mois prochain, on ouvre une autre succursale au centre-ville de Montréal, sur la rue Sainte-Catherine.»
D’autres franchises sont en voie d’être signées. Si tout se passe comme prévu, une succursale de plus devrait ouvrir dans l’est de Montréal, puis à Québec et à Gatineau d’ici le mois de mai.
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