«Mon implication politique à Laval m’a procuré de grandes satisfactions, déclare celui qui y avait fait le saut en 2013 au moment où la Municipalité vivait ses années les plus sombres. J’ai pu servir mes concitoyens et collaborer à l’essor de cette grande ville.»
Il tire sa révérence quatre mois après avoir terminé troisième dans la course à la mairie avec 16 % des suffrages exprimés. Chef de l’opposition officielle des quatre dernières années à Laval, M. Gobé avait dû faire le deuil de cette importante fonction qu’il a perdue par près de 5000 votes aux mains du chef de Parti Laval, Michel Trottier.
Successeur
Avant de démissionner, Jean-Claude Gobé a désigné Achille T. Cifelli chef intérimaire et président de l’exécutif du parti Action Laval.
Militant de la première heure, M. Cifelli avait livré en novembre dernier une chaude lutte à Christiane Yoakim, qui a été réélue avec un peu moins de 400 voix dans Val-des-Arbres. Il avait récolté 31,3 % du vote, soit 1690 bulletins. Il s’agit – et de loin – de la deuxième meilleure performance du parti après celle d’Aglaia Revelakis, reportée au pouvoir dans Chomedey avec 47 % des suffrages.
D’autres défis…
«Le temps est venu pour moi de relever d’autres défis», termine M. Gobé dans un communiqué publié le 27 février.
Appelé à préciser ces défis qui l’attendent lors d’un bref entretien téléphonique, il s’est montré évasif, laissant entendre qu’il ne tenait pas à les rendre publics pour l’instant.
L’ex-député libéral de Lafontaine à l’Assemblée nationale serait-il tenté par un retour dans l’arène politique provinciale, alors que des élections générales se tiendront à l’automne?
«Vous savez dans la vie, il ne faut jamais dire jamais», répond prudemment M. Gobé qui ne ferme la porte à rien.
«Mon implication politique à Laval m’a procuré de grandes satisfactions, déclare celui qui y avait fait le saut en 2013 au moment où la Municipalité vivait ses années les plus sombres. J’ai pu servir mes concitoyens et collaborer à l’essor de cette grande ville.»
Il tire sa révérence quatre mois après avoir terminé troisième dans la course à la mairie avec 16 % des suffrages exprimés. Chef de l’opposition officielle des quatre dernières années à Laval, M. Gobé avait dû faire le deuil de cette importante fonction qu’il a perdue par près de 5000 votes aux mains du chef de Parti Laval, Michel Trottier.
Successeur
Avant de démissionner, Jean-Claude Gobé a désigné Achille T. Cifelli chef intérimaire et président de l’exécutif du parti Action Laval.
Militant de la première heure, M. Cifelli avait livré en novembre dernier une chaude lutte à Christiane Yoakim, qui a été réélue avec un peu moins de 400 voix dans Val-des-Arbres. Il avait récolté 31,3 % du vote, soit 1690 bulletins. Il s’agit – et de loin – de la deuxième meilleure performance du parti après celle d’Aglaia Revelakis, reportée au pouvoir dans Chomedey avec 47 % des suffrages.
D’autres défis…
«Le temps est venu pour moi de relever d’autres défis», termine M. Gobé dans un communiqué publié le 27 février.
Appelé à préciser ces défis qui l’attendent lors d’un bref entretien téléphonique, il s’est montré évasif, laissant entendre qu’il ne tenait pas à les rendre publics pour l’instant.
L’ex-député libéral de Lafontaine à l’Assemblée nationale serait-il tenté par un retour dans l’arène politique provinciale, alors que des élections générales se tiendront à l’automne?
«Vous savez dans la vie, il ne faut jamais dire jamais», répond prudemment M. Gobé qui ne ferme la porte à rien.