Condamné à six ans de prison, il n’aura purgé que moins d’une année de sa peine. La CLCC ne croit pas à la possibilité d’une récidive avec violence, bien que le principal intéressé se montre peu contrit face à ses agissements passés.
Le maire déchu devra respecter plusieurs conditions dont celle de faire du bénévolat.Durant sa demi-liberté, l’homme de 76 ans devra se rendre chaque soir dans un foyer de transition ou un établissement résidentiel communautaire.
Rappelons que le 1er décembre 2016, Gilles Vaillancourt avait accepté de plaider coupable à trois des chefs d’accusation auxquels il faisait face, soit complot dans le but de commettre une fraude, fraude et abus de confiance, tous pour des actes s’étant produits entre le 1er janvier 1996 et le 30 septembre 2010, reconnaissant ainsi qu’il avait pris part à un système de corruption et collusion dans l’octroi de contrats publics.
Il avait connu sa sentence deux semaines plus tard, après avoir notamment conclu une entente avec la Ville de Laval pour un remboursement volontaire d’environ 8,6 M $, comprenant la cession d’un condominium d’une valeur de 1 M $, ainsi qu’une somme en argent de plus de 7 M $ en provenance de comptes bancaires suisses.
Condamné à six ans de prison, il n’aura purgé que moins d’une année de sa peine. La CLCC ne croit pas à la possibilité d’une récidive avec violence, bien que le principal intéressé se montre peu contrit face à ses agissements passés.
Le maire déchu devra respecter plusieurs conditions dont celle de faire du bénévolat.Durant sa demi-liberté, l’homme de 76 ans devra se rendre chaque soir dans un foyer de transition ou un établissement résidentiel communautaire.
Rappelons que le 1er décembre 2016, Gilles Vaillancourt avait accepté de plaider coupable à trois des chefs d’accusation auxquels il faisait face, soit complot dans le but de commettre une fraude, fraude et abus de confiance, tous pour des actes s’étant produits entre le 1er janvier 1996 et le 30 septembre 2010, reconnaissant ainsi qu’il avait pris part à un système de corruption et collusion dans l’octroi de contrats publics.
Il avait connu sa sentence deux semaines plus tard, après avoir notamment conclu une entente avec la Ville de Laval pour un remboursement volontaire d’environ 8,6 M $, comprenant la cession d’un condominium d’une valeur de 1 M $, ainsi qu’une somme en argent de plus de 7 M $ en provenance de comptes bancaires suisses.