Dans le cadre du projet «Prends soin de toi», des agents du poste de quartier Vimont-Auteuil (PDQ 6) vont à la rencontre des enfants malades depuis sept ans. Pour sa part, Flair fait la tournée depuis deux ans et demi.
«Le tout a débuté à Noël, spécifie la porte-parole de la police, Évelyne Boudreau. Depuis quelques années, nous faisons quatre visites: à Pâques, Noël, l’Halloween et durant l’été.»
Les agentes Michelle Bergeron et Chantal Moreau ont donné un peu de réconfort à une douzaine de jeunes, dont Charles St-Pierre, âgé de 14 ans. Ce dernier a eu une appendicite alors que ses parents étaient en voyage. Ses grands-parents se sont donc payé une visite à l’hôpital.
Pour sa part, le lieutenant Daniel Guérin prétend que la présence de Flair à l’hôpital permet aussi aux parents de décrocher et de retrouver le sourire. «Une dame pleurait et Flair s’est approché doucement d’elle et lui a fait un petit câlin. Ce toutou a le même effet à plus petite échelle que Patch Adams. Ça fait du bien pour le moral. Nous en avons profité pour remettre des surprises et des bonbons.»
Véritable coqueluche
Évelyne Boudreau a mentionné que les dames (mères et employées) ont apprécié la présence de la mascotte Flair en se faisant photographier avec lui. «J’ai campé le rôle de photographe l’instant d’un moment», souligne l’agente Boudreau. Si Flair a fait un tabac, il a effrayé un petit bonhomme. Ce dernier a beaucoup pleuré en voyant la peluche. Toutefois, la majorité des enfants ont retrouvé le sourire. Cela a mis de la joie», termine-t-elle.
Dans le cadre du projet «Prends soin de toi», des agents du poste de quartier Vimont-Auteuil (PDQ 6) vont à la rencontre des enfants malades depuis sept ans. Pour sa part, Flair fait la tournée depuis deux ans et demi.
«Le tout a débuté à Noël, spécifie la porte-parole de la police, Évelyne Boudreau. Depuis quelques années, nous faisons quatre visites: à Pâques, Noël, l’Halloween et durant l’été.»
Les agentes Michelle Bergeron et Chantal Moreau ont donné un peu de réconfort à une douzaine de jeunes, dont Charles St-Pierre, âgé de 14 ans. Ce dernier a eu une appendicite alors que ses parents étaient en voyage. Ses grands-parents se sont donc payé une visite à l’hôpital.
Pour sa part, le lieutenant Daniel Guérin prétend que la présence de Flair à l’hôpital permet aussi aux parents de décrocher et de retrouver le sourire. «Une dame pleurait et Flair s’est approché doucement d’elle et lui a fait un petit câlin. Ce toutou a le même effet à plus petite échelle que Patch Adams. Ça fait du bien pour le moral. Nous en avons profité pour remettre des surprises et des bonbons.»
Véritable coqueluche
Évelyne Boudreau a mentionné que les dames (mères et employées) ont apprécié la présence de la mascotte Flair en se faisant photographier avec lui. «J’ai campé le rôle de photographe l’instant d’un moment», souligne l’agente Boudreau. Si Flair a fait un tabac, il a effrayé un petit bonhomme. Ce dernier a beaucoup pleuré en voyant la peluche. Toutefois, la majorité des enfants ont retrouvé le sourire. Cela a mis de la joie», termine-t-elle.