Le design a été réalisé par Sylvie Marsolais, alias sylabrush. Cette conception rend hommage à Maurice Richard, le Rocket, l’un des plus grands joueurs de l’histoire du Tricolore. On y retrouve le fameux numéro 9 qui brille dans le noir. Au moment où les lumières se sont éteintes avant le début des cérémonies du match d’ouverture, le 6 octobre, le numéro 9 a brillé de tous ses feux.
«J’ai toujours fait appel à sylabrush pour mes masques, avoue Fucale. Cette pièce d’équipement est spéciale pour moi. C’est une de mes plus belles.
«Je n’avais donné aucune consigne, poursuit-il. Il allait de soi que la légende du Tricolore soit honorée avec l’arrivée du club-école du Canadien de Montréal. C’est une excellente idée. Après tout, le Rocket était un joueur important pour nous les Québécois.»
Fucale n’est pas très superstitieux. Il ne croit pas que son masque l’aidera à obtenir du succès devant la forteresse du Rocket. «Ça va protéger ma tête, c’est garanti!» termine avec humour Zach Fucale.
Le design a été réalisé par Sylvie Marsolais, alias sylabrush. Cette conception rend hommage à Maurice Richard, le Rocket, l’un des plus grands joueurs de l’histoire du Tricolore. On y retrouve le fameux numéro 9 qui brille dans le noir. Au moment où les lumières se sont éteintes avant le début des cérémonies du match d’ouverture, le 6 octobre, le numéro 9 a brillé de tous ses feux.
«J’ai toujours fait appel à sylabrush pour mes masques, avoue Fucale. Cette pièce d’équipement est spéciale pour moi. C’est une de mes plus belles.
«Je n’avais donné aucune consigne, poursuit-il. Il allait de soi que la légende du Tricolore soit honorée avec l’arrivée du club-école du Canadien de Montréal. C’est une excellente idée. Après tout, le Rocket était un joueur important pour nous les Québécois.»
Fucale n’est pas très superstitieux. Il ne croit pas que son masque l’aidera à obtenir du succès devant la forteresse du Rocket. «Ça va protéger ma tête, c’est garanti!» termine avec humour Zach Fucale.