Des autocollants sur lesquels on pouvait lire «Sous-traitance Vaillancourt ou Demers c’est pareil» et des pancartes portant des messages notamment sur le traitement égal et dénonçant également la mauvaise foi du maire sortant ont été respectivement laissés sur le bac de recyclage et le terrain du domicile du quartier Auteuil.
«Les cols bleus ont le droit de manifester dans des événements organisés par la Ville, ça c’est correct, mais de venir chez moi, c’est aller trop loin», a dénoncé David De Cotis, qui a porté plainte à la Police de Laval.
L’élu lavallois n’était pas chez lui lorsque les manifestants se sont pointés. «Mon épouse était présente et c’est un peu un geste d’intimidation», a-t-il souligné, ajoutant que des rassemblements du genre ne feront pas avancer le dossier des négociations.
Rappelons que les quelque 750 cols bleus lavallois sont sans convention collective depuis le 1er janvier 2016. Le 4 octobre dernier, la grande majorité de ces travailleurs ont voté en faveur de la grève, moyen de pression qui sera appliqué dans les prochains jours avec des grèves d’heures supplémentaires les 28 et 29 octobre ainsi que les 4 et 5 novembre.
Dans les dernières semaines, les cols bleus ont manifesté notamment devant l’hôtel de ville, lors du conseil de ville d’octobre, et la Place Bell, à l’occasion du match inaugural du Rocket de Laval.
Des autocollants sur lesquels on pouvait lire «Sous-traitance Vaillancourt ou Demers c’est pareil» et des pancartes portant des messages notamment sur le traitement égal et dénonçant également la mauvaise foi du maire sortant ont été respectivement laissés sur le bac de recyclage et le terrain du domicile du quartier Auteuil.
«Les cols bleus ont le droit de manifester dans des événements organisés par la Ville, ça c’est correct, mais de venir chez moi, c’est aller trop loin», a dénoncé David De Cotis, qui a porté plainte à la Police de Laval.
L’élu lavallois n’était pas chez lui lorsque les manifestants se sont pointés. «Mon épouse était présente et c’est un peu un geste d’intimidation», a-t-il souligné, ajoutant que des rassemblements du genre ne feront pas avancer le dossier des négociations.
Rappelons que les quelque 750 cols bleus lavallois sont sans convention collective depuis le 1er janvier 2016. Le 4 octobre dernier, la grande majorité de ces travailleurs ont voté en faveur de la grève, moyen de pression qui sera appliqué dans les prochains jours avec des grèves d’heures supplémentaires les 28 et 29 octobre ainsi que les 4 et 5 novembre.
Dans les dernières semaines, les cols bleus ont manifesté notamment devant l’hôtel de ville, lors du conseil de ville d’octobre, et la Place Bell, à l’occasion du match inaugural du Rocket de Laval.