Même si l’enseigne annonce «À vendre», la location est le choix numéro un pour l’actuel propriétaire, Alain Gauvin. Une affiche sera d’ailleurs bientôt ajoutée à la pancarte, nous a-t-il dit. «L’arrière du bâtiment serait parfait pour le communautaire. Pour le reste, ça pourrait être de l’hébergement», souligne M. Gauvin.
Avec un partenaire, le résident de Ste-Rose avait acheté l’ancien couvent l’an dernier. Petit-fils d’Édith Serei, il nous avait confié son intention d’ajouter un pavillon à l’académie internationale d’esthétique fondée par sa grand-mère en 1959. On devait accueillir les premiers élèves en janvier.
Un CHSLD
«Avant de pouvoir mettre mes projets en branle, j’ai été approché par un groupe qui désirait ouvrir un CHSLD, explique M. Gauvin. Nous avons travaillé quelque temps sur cette idée, mais cela n’a pas fonctionné.»
Actionnaire dans une compagnie, l’horaire de M. Gauvin s’est ensuite alourdi et il a dû mettre son projet d’école d’esthétique sur la glace pour le moment. «Je n’ai toutefois pas encore mis de croix là-dessus», assure-t-il.
