:«On ne change pas les plans et devis, tout est réalisé comme dans le plan proposé aux gens l’année dernière», indique-t-il, rappelant que des inspecteurs du ministère de l’Environnement viennent régulièrement sur les lieux afin de s’assurer que tout est conforme.
La belle température aidant, les travaux vont bon train et on estime qu’ils seront terminés à la fin du mois de novembre. Sur une certaine partie jusqu’à présent, notamment à l’entrée de la rue Mâcon, la piste cyclable a été surélevée, des arbres et du gazon coupés et des bases pour des futurs lampadaires installées. On prévoit également la plantation d’une haie de cèdres entre la piste cyclable et l’emprise. «Ce sera la même chose partout, de l’avenue des Lacasse à l’autoroute 19», mentionne David De Cotis.
Pente
Le Ministère interdit à la Ville de toucher au ruisseau Paradis, cependant des travaux sont actuellement exécutés derrière la rue de Marbella, afin d’aménager une pente dans le petit cours d’eau, explique l’élu.
«Il fallait le faire pour que l’eau s’écoule bien et ne reste pas stagnante. Des citoyens se plaignaient de l’odeur, mais la pente va régler ce problème. Une fois les travaux terminés, le ruisseau sera remis tel qu’il l’était avant comme le demande le Ministère», souligne-t-il, ajoutant que des travaux d’égout réalisés sur certaines rues sont en lien avec cette correction dans le ruisseau. «On avait des égouts à cet endroit, mais on a remplacé par du neuf puisqu’on était déjà sur le terrain.»
Écosystème
Du côté de la Ville, on espère que la météo clémente se poursuivra encore pour quelques semaines, puisqu’il sera impossible de travailler aux abords du ruisseau le printemps venu.
«Même si tout était prêt avant, il a fallu attendre à la fin août pour débuter les travaux. Il y a un écosystème à protéger et c’était la fenêtre autorisée par le Ministère. On ne pourra pas revenir au printemps si ce n’est pas terminé.»
David De Cotis a bien hâte de voir le produit fini. «Le but est de redonner une qualité de vie aux citoyens. Ils pourront prendre des marches le matin et le soir, ce sera sécuritaire avec les lampadaires.»
:«On ne change pas les plans et devis, tout est réalisé comme dans le plan proposé aux gens l’année dernière», indique-t-il, rappelant que des inspecteurs du ministère de l’Environnement viennent régulièrement sur les lieux afin de s’assurer que tout est conforme.
La belle température aidant, les travaux vont bon train et on estime qu’ils seront terminés à la fin du mois de novembre. Sur une certaine partie jusqu’à présent, notamment à l’entrée de la rue Mâcon, la piste cyclable a été surélevée, des arbres et du gazon coupés et des bases pour des futurs lampadaires installées. On prévoit également la plantation d’une haie de cèdres entre la piste cyclable et l’emprise. «Ce sera la même chose partout, de l’avenue des Lacasse à l’autoroute 19», mentionne David De Cotis.
Pente
Le Ministère interdit à la Ville de toucher au ruisseau Paradis, cependant des travaux sont actuellement exécutés derrière la rue de Marbella, afin d’aménager une pente dans le petit cours d’eau, explique l’élu.
«Il fallait le faire pour que l’eau s’écoule bien et ne reste pas stagnante. Des citoyens se plaignaient de l’odeur, mais la pente va régler ce problème. Une fois les travaux terminés, le ruisseau sera remis tel qu’il l’était avant comme le demande le Ministère», souligne-t-il, ajoutant que des travaux d’égout réalisés sur certaines rues sont en lien avec cette correction dans le ruisseau. «On avait des égouts à cet endroit, mais on a remplacé par du neuf puisqu’on était déjà sur le terrain.»
Écosystème
Du côté de la Ville, on espère que la météo clémente se poursuivra encore pour quelques semaines, puisqu’il sera impossible de travailler aux abords du ruisseau le printemps venu.
«Même si tout était prêt avant, il a fallu attendre à la fin août pour débuter les travaux. Il y a un écosystème à protéger et c’était la fenêtre autorisée par le Ministère. On ne pourra pas revenir au printemps si ce n’est pas terminé.»
David De Cotis a bien hâte de voir le produit fini. «Le but est de redonner une qualité de vie aux citoyens. Ils pourront prendre des marches le matin et le soir, ce sera sécuritaire avec les lampadaires.»