Le Syndicat des travailleuses des Centres de la petite enfance de Montréal et Laval (STCPEML) a annoncé que l’entente de principe intervenue avec l’Association patronale nationale des centres de la petite enfance (APNCPE) avait été adoptée à 96 % par ses membres.
Ce vote a eu lieu le 26 mai par voie électronique, soit près d’un mois après la confirmation d’une entente de principe.
L’entente comprend notamment les gains obtenus au national à la suite de l’exercice des 18 jours de grève à l’automne, tels que le rattrapage salarial de 18 % pour les éducatrices.
Les travailleuses de Laval et Montréal maintiennent aussi leur période de repos déjà en place dans leur milieu de travail, la participation à la saine application de la pédagogie et aux décisions touchant l’organisation de la vie quotidienne dans leur groupe d’enfants, ainsi que la conciliation travail-famille par le maintien d’horaires stables.
Le STCPEML estime que le maintien de ce mode de gestion est un gain important, puisque «les demandes patronales qui allaient en sens contraire».
Rappelons que ce syndicat est rattaché à la Fédération de la santé et des services sociaux, affiliée à la CSN. (N.P.)