Les cols bleus de Laval avaient voté dans une proportion de 95 % pour un mandat de grève générale lors d’une assemblée tenue le 4 octobre.
Comme le prévoit le Code du travail du Québec, le Syndicat a fait parvenir un avis de grève générale à la division des services essentiels du Tribunal administratif du travail (TAT) le 8 novembre.
Cet avis marque un durcissement des moyens de pression, alors que l’administration Demers vient d’être réélue avec une forte majorité à la tête de Laval.
Au point mort
Un médiateur a été nommé le 14 août et malgré une multitude de rencontres de médiation, les parties n’en sont pas arrivées à une entente.
Le Syndicat dénonce les offres inacceptables déposées par les représentants de la Ville. «L’équité avec les autres groupes d’employés de Laval est au cœur de notre demande, assure dans un communiqué Stéphane Lavoie, vice-président du Syndicat. Malgré quelques avancées sur les enjeux normatifs, les représentants patronaux reviennent à la charge avec des demandes qui visent à faire reculer nos conditions de travail. C’est inacceptable pour nous!»
Les cols bleus, qui sont sans convention collective depuis janvier 2016, comptent manifester leur mécontentement de façon pacifique et dans le respect des lois.
Réaction de la Ville
Le porte-parole de la Ville, François Brochu, a fait savoir par courriel que «Devant les intentions des cols bleus, nous examinons toutes les options possibles. Nous voulons éviter que les familles lavalloises deviennent les victimes des actions du Syndicat des cols bleus.
Par ailleurs, nous invitons le Syndicat à revenir à la table de négociation qu’il a quittée à la fin septembre. C’est la seule façon de régler ce conflit. D’ici là, s’attaquer aux milliers de jeunes qui s’investissent dans leur sport nous semble une tactique très critiquable.»
Autre texte à lire: «Pas quesiton d’annuler les tournois de hockey» -Michel Demers.
Les cols bleus de Laval avaient voté dans une proportion de 95 % pour un mandat de grève générale lors d’une assemblée tenue le 4 octobre.
Comme le prévoit le Code du travail du Québec, le Syndicat a fait parvenir un avis de grève générale à la division des services essentiels du Tribunal administratif du travail (TAT) le 8 novembre.
Cet avis marque un durcissement des moyens de pression, alors que l’administration Demers vient d’être réélue avec une forte majorité à la tête de Laval.
Au point mort
Un médiateur a été nommé le 14 août et malgré une multitude de rencontres de médiation, les parties n’en sont pas arrivées à une entente.
Le Syndicat dénonce les offres inacceptables déposées par les représentants de la Ville. «L’équité avec les autres groupes d’employés de Laval est au cœur de notre demande, assure dans un communiqué Stéphane Lavoie, vice-président du Syndicat. Malgré quelques avancées sur les enjeux normatifs, les représentants patronaux reviennent à la charge avec des demandes qui visent à faire reculer nos conditions de travail. C’est inacceptable pour nous!»
Les cols bleus, qui sont sans convention collective depuis janvier 2016, comptent manifester leur mécontentement de façon pacifique et dans le respect des lois.
Réaction de la Ville
Le porte-parole de la Ville, François Brochu, a fait savoir par courriel que «Devant les intentions des cols bleus, nous examinons toutes les options possibles. Nous voulons éviter que les familles lavalloises deviennent les victimes des actions du Syndicat des cols bleus.
Par ailleurs, nous invitons le Syndicat à revenir à la table de négociation qu’il a quittée à la fin septembre. C’est la seule façon de régler ce conflit. D’ici là, s’attaquer aux milliers de jeunes qui s’investissent dans leur sport nous semble une tactique très critiquable.»
Autre texte à lire: «Pas quesiton d’annuler les tournois de hockey» -Michel Demers.